Selon le document 1) a), on observe que l’acétabulaire en cours de croissance est découpée en deux fragments. Le fragment nucléé régénère le chapeau. Le fragment énucléé régénère un chapeau de petite taille puis meurt. De plus dans le 1) b), nous observons que l’on a mis en évidence dans le cytoplasme des cellules, un acide nucléique : l’ARN (Acide RiboNucléique). La même expérience que précédemment est réalisée mais chaque fragment est traité par l’ARNase, l’un meurt rapidement sans créer de chapeau et l’autre se développe normalement.
Nous pouvons donc interpréter que dans le 1) a) la régénération du chapeau nécessite la synthèse de protéines, car sans il meurt. Puis dans le 1) b) l’ARNase est une enzyme qui détruit spécifiquement les molécules d’ARN. Seul un fragment génère un chapeau, l’autre meurt. On observe donc que la base de la tige de l’acétabulaire apporte quelque chose que le haut ne peut pas, car dans les deux cas, il meurt.
On peut expliquer les deux cas où le haut de l’acétabulaire meurt facilement, car comme c’est une algue, elle doit réaliser la photosynthèse (qui nécessite des sels minéraux, matière organique (glucose)). Cependant, comme cette récupération s’effectue par le bas de la tige, elle ne peut donc rien extraire et les cellules chlorophylliennes meurent.
Mais ce qui nous intéresse réellement c’est de savoir pourquoi le fragment de la tige du bas de la tige reste vivant, et cela est plus compliqué :
- On voit dans la première expérience que seule la tige du bas permet le développement de l’algue. Nous avons vu que c’est grâce à une synthèse de protéine qu’elle peut régénérer son chapeau.
- Dans l’expérience b, la tige du haut meurt encore plus rapidement en dépit de l’ARNase qui accélère le processus.
- Puis, le bas de la tige se développe comme si de rien n’était, malgré la présence d’ARNase. Donc, même si l’on arrête l’action de l’ARNase, seul le fragment nucléé régénère un chapeau.
On en déduit donc qu’entre le moment où l’algue est coupée en fragment et la fin de l’expérience, il s’est passé quelque chose au niveau moléculaire. On sait, en outre, qu’un gène code pour une protéine donnée.
Dans le document 2, nous observons que l’ARN, dans le milieu radioactif a) est concentré au centre. Tandis que dans le milieu b) après avoir d’abord été mis dans un milieu radioactif puis non radioactif, on retrouve de l’ARN dispersé sur tout le milieu, sauf au centre.
(Les pièces jointes se lisent dans l'ordre chronologique : Réplications radioactive --> STV Travail 4)
geoffdassonville
Aucun souci, il est vrai que cette méthode de gagner des points est souvent utilisée, mais je suis en vogue et j'ai pour ambition de passer modérateur sur ce site, donc pas pour moi. Bonne soirée de même, et bonne continuation également :)
geoffdassonville
ce sont des brins D'ARN, j'ai oublié de le souligner mais c'est pour aider à différencier les paires de chromosomes.
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Rebonsoir,
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Bonsoir,
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Selon le document 1) a), on observe que l’acétabulaire en cours de croissance est découpée en deux fragments. Le fragment nucléé régénère le chapeau. Le fragment énucléé régénère un chapeau de petite taille puis meurt. De plus dans le 1) b), nous observons que l’on a mis en évidence dans le cytoplasme des cellules, un acide nucléique : l’ARN (Acide RiboNucléique). La même expérience que précédemment est réalisée mais chaque fragment est traité par l’ARNase, l’un meurt rapidement sans créer de chapeau et l’autre se développe normalement.
Nous pouvons donc interpréter que dans le 1) a) la régénération du chapeau nécessite la synthèse de protéines, car sans il meurt. Puis dans le 1) b) l’ARNase est une enzyme qui détruit spécifiquement les molécules d’ARN. Seul un fragment génère un chapeau, l’autre meurt. On observe donc que la base de la tige de l’acétabulaire apporte quelque chose que le haut ne peut pas, car dans les deux cas, il meurt.
On peut expliquer les deux cas où le haut de l’acétabulaire meurt facilement, car comme c’est une algue, elle doit réaliser la photosynthèse (qui nécessite des sels minéraux, matière organique (glucose)). Cependant, comme cette récupération s’effectue par le bas de la tige, elle ne peut donc rien extraire et les cellules chlorophylliennes meurent.
Mais ce qui nous intéresse réellement c’est de savoir pourquoi le fragment de la tige du bas de la tige reste vivant, et cela est plus compliqué :
- On voit dans la première expérience que seule la tige du bas permet le développement de l’algue. Nous avons vu que c’est grâce à une synthèse de protéine qu’elle peut régénérer son chapeau.
- Dans l’expérience b, la tige du haut meurt encore plus rapidement en dépit de l’ARNase qui accélère le processus.
- Puis, le bas de la tige se développe comme si de rien n’était, malgré la présence d’ARNase. Donc, même si l’on arrête l’action de l’ARNase, seul le fragment nucléé régénère un chapeau.
On en déduit donc qu’entre le moment où l’algue est coupée en fragment et la fin de l’expérience, il s’est passé quelque chose au niveau moléculaire. On sait, en outre, qu’un gène code pour une protéine donnée.
Dans le document 2, nous observons que l’ARN, dans le milieu radioactif a) est concentré au centre. Tandis que dans le milieu b) après avoir d’abord été mis dans un milieu radioactif puis non radioactif, on retrouve de l’ARN dispersé sur tout le milieu, sauf au centre.
(Les pièces jointes se lisent dans l'ordre chronologique : Réplications radioactive --> STV Travail 4)
Bonne soirée :)
(Et excusez-moi pour le malentendu)