Encadrez les reprises nominales de l'expression en MAJUSCULES. Quels sentiments Victor Hugo éprouve t-il pour cet enfant
Paris a un ENFANT et la foret a un oiseau; l'oiseau s'appelle le moineau;l'enfant s'appelle le gamin. [...] Ce petit être est joyeux. Ils ne mange pas tous les jours et il va au spectacle, si bon lui lui semble, tous les soirs . Ils n'a pas de chemise sur le corps, pas se souliers aux pieds, pas de toit sur la tete; il est comme les mouches du ciel qui n'ont rien de tout cela. [...] Le gamin de Paris, c'est le nain de la géante. N'exagérons point, ce chérubin du ruisseau a quelquefois une chemise, mais alors il n'en a qu'une; il a quelquefois des souliers mais alors ils n'ont point de semelle; il a quelquefois un logis et il l'aime, car il y trouve sa mère; mais il préfère la rue, parce qu'il y trouve la liberté. Victor Hugo, les misérables, 1862
Encadrez avec des crochets les reprises pronominales du groupe en MAJUSCULES:UNE VIELLE MAISON.
J'occupai une matinée entière et presque tout l'après -midi à explorer UNE VIELLE MAISON. Depuis la mort de ma grand-mère Nathalie, j'y étais venu chaque année, mais pour peu de temps, par devoir et sans l'habiter. Elle me serrait le cœur. Le bonheur que j'y avais connu pendant mon enfance me la rendait inhabitable, maintenant que, vide, inutile, je m'y retrouvais seul, et moi-même, autant et plus qu'elle, vacant et abandonnée.
voici la réponse entre ( ) et en gras : Paris a un ENFANT et la foret a un oiseau; l'oiseau s'appelle le moineau;(l'enfant) s'appelle le gamin. [...] (Ce petit être) est joyeux. Ils ne mange pas tous les jours et il va au spectacle, si bon lui lui semble, tous les soirs . Ils n'a pas de chemise sur le corps, pas se souliers aux pieds, pas de toit sur la tete; il est comme les mouches du ciel qui n'ont rien de tout cela. [...] (Le gamin de Paris), c'est le nain de la géante. N'exagérons point, (ce chérubin du ruisseau) a quelquefois une chemise, mais alors il n'en a qu'une; il a quelquefois des souliers mais alors ils n'ont point de semelle; il a quelquefois un logis et il l'aime, car il y trouve sa mère; mais il préfère la rue, parce qu'il y trouve la liberté. Victor Hugo, les misérables, 1862
Encadrez avec des crochets les reprises pronominales du groupe en MAJUSCULES:UNE VIELLE MAISON.
J'occupai une matinée entière et presque tout l'après -midi à explorer UNE VIELLE MAISON. Depuis la mort de ma grand-mère Nathalie, j'(y ) étais venu chaque année, mais pour peu de temps, par devoir et sans (l)'habiter. (Elle )me serrait le cœur. Le bonheur que j'(y) avais connu pendant mon enfance me (la) rendait inhabitable, maintenant que, vide, inutile, je m'(y) retrouvais seul, et moi-même, autant et plus qu'(elle), vacant et abandonnée.
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ajbilouchawqui
MERCIIII BEAUCOUP vous m'avez vraiment aidé
abido12
Avec plaisir, tu peux marquer ma réponse !
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voici la réponse entre ( ) et en gras :Paris a un ENFANT et la foret a un oiseau; l'oiseau s'appelle le moineau;(l'enfant) s'appelle le gamin.
[...] (Ce petit être) est joyeux. Ils ne mange pas tous les jours et il va au spectacle, si bon lui lui semble, tous les soirs . Ils n'a pas de chemise sur le corps, pas se souliers aux pieds, pas de toit sur la tete; il est comme les mouches du ciel qui n'ont rien de tout cela. [...]
(Le gamin de Paris), c'est le nain de la géante.
N'exagérons point, (ce chérubin du ruisseau) a quelquefois une chemise, mais alors il n'en a qu'une; il a quelquefois des souliers mais alors ils n'ont point de semelle; il a quelquefois un logis et il l'aime, car il y trouve sa mère; mais il préfère la rue, parce qu'il y trouve la liberté. Victor Hugo, les misérables, 1862
Encadrez avec des crochets les reprises pronominales du groupe en MAJUSCULES:UNE VIELLE MAISON.
J'occupai une matinée entière et presque tout l'après -midi à explorer UNE VIELLE MAISON. Depuis la mort de ma grand-mère Nathalie, j'(y ) étais venu chaque année, mais pour peu de temps, par devoir et sans (l)'habiter. (Elle )me serrait le cœur. Le bonheur que j'(y) avais connu pendant mon enfance me (la) rendait inhabitable, maintenant que, vide, inutile, je m'(y) retrouvais seul, et moi-même, autant et plus qu'(elle), vacant et abandonnée.