figures de style. Tout d'abord, il y a une répétition de sons dans le deuxième vers: "saintement, lentement". Cela s'appelle une allitération. Ensuite, il y a une personnification dans le troisième vers: "vers le lit de ma vigilance procèdent muets et glacés". Les pas sont personnifiés (comme des humains) et ils sont muets et glacés.
Il y a aussi une anaphore dans le quatrième vers: "personne pure, ombre divine". Les deux expressions sont répétées pour mettre l'accent sur la pureté et la divinité de la personne en question.
Enfin, il y a une hyperbole dans le septième vers: "dieux !... tous les dons que je devine viennent à moi sur ces pieds nus !". Les pas sont tellement importants pour le poète qu'il considère qu'ils peuvent lui apporter tous les idées .
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Réponse:
figures de style. Tout d'abord, il y a une répétition de sons dans le deuxième vers: "saintement, lentement". Cela s'appelle une allitération. Ensuite, il y a une personnification dans le troisième vers: "vers le lit de ma vigilance procèdent muets et glacés". Les pas sont personnifiés (comme des humains) et ils sont muets et glacés.
Il y a aussi une anaphore dans le quatrième vers: "personne pure, ombre divine". Les deux expressions sont répétées pour mettre l'accent sur la pureté et la divinité de la personne en question.
Enfin, il y a une hyperbole dans le septième vers: "dieux !... tous les dons que je devine viennent à moi sur ces pieds nus !". Les pas sont tellement importants pour le poète qu'il considère qu'ils peuvent lui apporter tous les idées .