Bonsoir tous le monde quelqun pourrait-il m'aider à imaginer une suite (voir image) 30 à 40 lignes et écrite au passé simple, je ne garderais pas tout je ferais des modification s'il vous plaît. Plusieurs personne peuvent m'aider j'utiliserais tout avec ce que j'ai fait
Le sauveur accepta sa punition sans broncher, mais ses joues creuses révélait la colère que l'homme éprouvait, qu'il déversait dans sa fragile mâchoire.
Premier coup.
Le son du fouet claquant sur le dos squelettique du noir effreya tous les esclaves, qui priait de toute leur âme de ne pas un jour vivre cette torture.
Deuxième coup.
Mes oreilles vrièrent, et j'eus l'impression que ma conscience m'infligea une horrible migraine. J'eus l'impression que le dos du noir fut pour un court instant tout mon cœur, meurtri par la vue de celui qui avait sauvé ma bien-aimée en train de se faire fouetter.
Troisième coup.
Je ne tins plus, et d'un élan héroïque, tel un sauveur de roman de chevalerie, je défiais mon oncle en entonnant, de mon air le plus révolté possible :
" Que faîtes vous, mon oncle, mais que faîtes vous donc ! "
Je marquais un silence, les lèvres pincées sous le regard virulant de mon parrain. Mon cerveau fusa, et de ma bouche sorti un lâche :
" Ne vous salissez pas les mains pour de la vermine ! Vos si belles mains ne peuvent servir pour de telles brindilles ! Laissez le donc, avec sa conscience, se punir pour pour le reste de son existence d'avoir fait preuve d'autant d'insolence !"
Mon oncle me sourit, étonnement, et frappa au derrière le noir, le réel sauveur de l'histoire, qui se releva avec hâte.
Puis mon parrain continua sa marche, et je vis le regard méprisant de l'homme impudent me dévisager, ce qui me fis l'effet d'un couteau dans le coeur.
Voici comme j'eus remercié l'être charitable qui avait sauvé ma douce Marie.
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Réponse:
Le sauveur accepta sa punition sans broncher, mais ses joues creuses révélait la colère que l'homme éprouvait, qu'il déversait dans sa fragile mâchoire.
Premier coup.
Le son du fouet claquant sur le dos squelettique du noir effreya tous les esclaves, qui priait de toute leur âme de ne pas un jour vivre cette torture.
Deuxième coup.
Mes oreilles vrièrent, et j'eus l'impression que ma conscience m'infligea une horrible migraine. J'eus l'impression que le dos du noir fut pour un court instant tout mon cœur, meurtri par la vue de celui qui avait sauvé ma bien-aimée en train de se faire fouetter.
Troisième coup.
Je ne tins plus, et d'un élan héroïque, tel un sauveur de roman de chevalerie, je défiais mon oncle en entonnant, de mon air le plus révolté possible :
" Que faîtes vous, mon oncle, mais que faîtes vous donc ! "
Je marquais un silence, les lèvres pincées sous le regard virulant de mon parrain. Mon cerveau fusa, et de ma bouche sorti un lâche :
" Ne vous salissez pas les mains pour de la vermine ! Vos si belles mains ne peuvent servir pour de telles brindilles ! Laissez le donc, avec sa conscience, se punir pour pour le reste de son existence d'avoir fait preuve d'autant d'insolence !"
Mon oncle me sourit, étonnement, et frappa au derrière le noir, le réel sauveur de l'histoire, qui se releva avec hâte.
Puis mon parrain continua sa marche, et je vis le regard méprisant de l'homme impudent me dévisager, ce qui me fis l'effet d'un couteau dans le coeur.
Voici comme j'eus remercié l'être charitable qui avait sauvé ma douce Marie.