Réécrivez ce texte au plus-que-parfaits en remplaçant la troisième personne du singulier par la troisième personne du pluriel.
Le jour tombe. Un grand apaisement se fait dans son pauvre esprit fatigué du labeur de la journée; et ses pensées prennent maintenant les couleurs tendres et indécises du crépuscule. Cependant, du hait de la montagne, arrive à son balcon, à travers les nues transparentes du soir, composé d'une foule de cris discordants, que l’espace transforme en une lugubre harmonie, Comme celle de la marée qui monte ou d’une tempête qui s’éveille.
Les jours étaient tombés. Des grands apaisements s'étaient faits dans son pauvre esprit fatigué du labeur de la journée ; et ses pensées avaient pris maintenant les couleurs tendres et indécises du crépuscule.
Cependant, du hait de la montagne, était arrivé à son balcon, à travers les nues transparentes du soir, composé d'une foule de cris discordants, que l’espace avait transformé en une lugubre harmonie, comme celle de la marée qui était montée ou d’une tempête qui s’était éveillée.
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Les jours étaient tombés. Des grands apaisements s'étaient faits dans son pauvre esprit fatigué du labeur de la journée ; et ses pensées avaient pris maintenant les couleurs tendres et indécises du crépuscule.
Cependant, du hait de la montagne, était arrivé à son balcon, à travers les nues transparentes du soir, composé d'une foule de cris discordants, que l’espace avait transformé en une lugubre harmonie, comme celle de la marée qui était montée ou d’une tempête qui s’était éveillée.
voilà