Il avait accompagné les deux jeunes femmes au théâtre pour présenter leur comédie sur scène. Le vicomte fut invité, il s'assit donc et commença à admirer le théâtre. Un homme assis sur une chaise voisine dit des commentaires désobligeants sur les acteurs et les mises en scène. Le vicomte fut agacé par ces interruptions répétées et demanda à cet individu : "Monsieur, veuillez bien cesser ce dérangement." Mais au lieu d'obtempérer, l'homme se mit à rire et à faire encore plus de bruit, gênant le vicomte. Le vicomte tenta une nouvelle fois de calmer la situation en lui demandant fermement de se taire, mais l'homme ne fit qu'attiser la colère du vicomte.
Le vicomte se leva brusquement et lui dit furieusement : "Quel manque de respect ! N'avez-vous pas honte ?" L'individu se leva ensuite et commença à échanger des insultes. Les autres spectateurs, effrayés par la tournure des événements, commencèrent à quitter la salle. Le gestionnaire du théâtre, alerté par leurs bruits, dit en hurlant : "Cessez ce dérangement ou j'appelle la police !" Les deux hommes cessèrent de se parler et quittèrent la salle d'un air brusque.
Le vicomte marcha vers chez lui avec l'esprit en ébullition, il ne put s'empêcher de repenser à toutes les insultes que l'inconnu avait proférées à son encontre. Il dit furieusement : "Quelle humiliation !" Arrivé chez lui, il trouva une lettre anonyme devant la porte de sa maison. C'était un message marqué : "Je vous propose un duel demain à 16h30". Il dit en pensant : "L'imbécile de tout à l'heure ! Je ne peux pas reculer, je ne peux pas être vu comme un lâche." Il accepta donc le défi.
Le vicomte dit en pensant : "Je ferais mieux de choisir le pistolet, je serai plus sûr de le tuer." Le jour du duel arriva rapidement. Le vicomte était anxieux, mais déterminé à défendre son honneur. Il arriva au lieu du rendez-vous et vit son adversaire qui l'attendait ainsi que des spectateurs. Les deux hommes prirent un des deux pistolets, se séparèrent de 20 pas, puis se préparèrent pour le signal. L'homme dit : "Êtes-vous sûr de vouloir mourir ?" Le vicomte répondit : "Ne vous inquiétez pas, car je ne vais pas mourir."
Le vicomte sentait son cœur battre rapidement, il n'avait jamais autant tremblé, il n'avait jamais tenu un pistolet pour tirer sur une vraie personne. "Feu !" s'exclama le (manager) en hurlant. Son doigt finit par appuyer sur le pistolet et boom. Un silence total régna. Le vicomte remarqua que le sang coulait comme une rivière de la poitrine de son adversaire, il était étonné mais fier, la tête haute. Il partit sous les applaudissements et les sifflements de la foule. Cependant, cet événement le hanta jusqu'à la fin de ses jours.
Il y avait trop de faute, c’était long.
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hirondelle52
Feu !" s'exclama le (manager) issu de l'IA, danger!
Arthur0619
Long ? C'est l'IA qui fait tout le travail
RickC137
Vous croyez que l’IA est infaillible, bien sûr que c’est long. À chaque fois que je dénombre une faute ce dernier est obligée de tout réécrire. Parfois, elle fait des fautes grammaticale, parfois d’orthographe, parfois un mot disparaît car le texte est long, d’ailleurs si vous avez mieux à proposer corrigez-le de vous-même, Toutes mes réponses ne sont pas avec l’IA ça sert à rien de spammer.
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Il avait accompagné les deux jeunes femmes au théâtre pour présenter leur comédie sur scène. Le vicomte fut invité, il s'assit donc et commença à admirer le théâtre. Un homme assis sur une chaise voisine dit des commentaires désobligeants sur les acteurs et les mises en scène. Le vicomte fut agacé par ces interruptions répétées et demanda à cet individu : "Monsieur, veuillez bien cesser ce dérangement." Mais au lieu d'obtempérer, l'homme se mit à rire et à faire encore plus de bruit, gênant le vicomte. Le vicomte tenta une nouvelle fois de calmer la situation en lui demandant fermement de se taire, mais l'homme ne fit qu'attiser la colère du vicomte.Le vicomte se leva brusquement et lui dit furieusement : "Quel manque de respect ! N'avez-vous pas honte ?" L'individu se leva ensuite et commença à échanger des insultes. Les autres spectateurs, effrayés par la tournure des événements, commencèrent à quitter la salle. Le gestionnaire du théâtre, alerté par leurs bruits, dit en hurlant : "Cessez ce dérangement ou j'appelle la police !" Les deux hommes cessèrent de se parler et quittèrent la salle d'un air brusque.
Le vicomte marcha vers chez lui avec l'esprit en ébullition, il ne put s'empêcher de repenser à toutes les insultes que l'inconnu avait proférées à son encontre. Il dit furieusement : "Quelle humiliation !" Arrivé chez lui, il trouva une lettre anonyme devant la porte de sa maison. C'était un message marqué : "Je vous propose un duel demain à 16h30". Il dit en pensant : "L'imbécile de tout à l'heure ! Je ne peux pas reculer, je ne peux pas être vu comme un lâche." Il accepta donc le défi.
Le vicomte dit en pensant : "Je ferais mieux de choisir le pistolet, je serai plus sûr de le tuer." Le jour du duel arriva rapidement. Le vicomte était anxieux, mais déterminé à défendre son honneur. Il arriva au lieu du rendez-vous et vit son adversaire qui l'attendait ainsi que des spectateurs. Les deux hommes prirent un des deux pistolets, se séparèrent de 20 pas, puis se préparèrent pour le signal. L'homme dit : "Êtes-vous sûr de vouloir mourir ?" Le vicomte répondit : "Ne vous inquiétez pas, car je ne vais pas mourir."
Le vicomte sentait son cœur battre rapidement, il n'avait jamais autant tremblé, il n'avait jamais tenu un pistolet pour tirer sur une vraie personne. "Feu !" s'exclama le (manager) en hurlant. Son doigt finit par appuyer sur le pistolet et boom. Un silence total régna. Le vicomte remarqua que le sang coulait comme une rivière de la poitrine de son adversaire, il était étonné mais fier, la tête haute. Il partit sous les applaudissements et les sifflements de la foule. Cependant, cet événement le hanta jusqu'à la fin de ses jours.
Il y avait trop de faute, c’était long.
issu de l'IA, danger!