boujour pourrez vous m aider svp car j arrive pas svp c est une redaction de 3eme c est un jour,comme le narrateur d un secret(phillipe grimbert) vous avez decouvert un secret ( sur un ami,sur un proche,sur vous-même...) qui a transforme votre vie; racontez les circonstances de cette decouverte et decrivez les emotions que cette revelation a suscitees en vous, ce qu elle a change pour vous.consigne -vous commencerez la premiere partie par un jour, la seconde partie depuis ce jour,-votre recit devra mêler moment de souvenir (premiere partie) et moment de l'ecriture (deuxieme partie) et les temps qui corespondent. -pensez a utiliser le vocabulaire des emotions,des sensations et du souvenir merci beaucoup
Je suppose que le texte peut ne pas être vrai donc je vais inventer:
Un jour, alors que je me baladais dans ma maison, j'entendis mes parents se disputer. Ils criaient tous les deux très fort et même si je n'entendais pas vraiment ce qu'ils se disaient je savais qu'ils étaient en désaccord l'un avec l'autre. Intrigué, je me rapprocha de la pièce d'où venait les cris et j'écoutais mes parents.
«Il faudra bien qu'un jour on le lui dise Martine !» criait mon père. « Mais enfin, Alexandre tu sais bien que c'est encore bien trop tôt ! Tu imagines le choc que ça va lui faire ?» répondit ma mère. «Ah parce que tu penses que si on attend plus longtemps encore, le choc sera moins grave ? Ce sera encore pire, réfléchis y deux minutes !»
Mais de qui pouvait bien parler mes parents ? Je ne Les avais encore jamais vu, ni entendu comme ça et j'avoue que sur le moment j'eu assez peur. Je m'éloignais sur La pointe des pieds de La porte quand soudain je trébucha. Paniqué, je déguerpis aussi vite que possible mais trop tard, mon père était déjà sorti de la pièce et me fixa, blanc comme un linge.
«Tu,... tu as entendu notre conversation ?» me demanda-t-il en bégayant. «Euh... eh bien oui j'ai entendu une partie. Celle ou tu disais qu'il était tant de lui dire, de qui vous parliez ?» demandais je.
Sur ce, ma mère sorti à son tour de La pièce et dit: « Eh bien, toi qui voulais a tout prix lui dire vas y maintenant ! » On entendait dans sa voix qu'elle se retenait de pleurer et cela m'inquiétais beaucoup. «Mais de quoi vous parlez à la fin ? Dites le moi !» dis je, agacé.
Ce jour là, j'ai entendu cette phrase. Cette phrase qui a changé ma vision du monde, cette phrase qui a fait de moi une autre personne, cette phrase qui a changé ma vie.
«Écoute mon fils, tu sais qu'on t'aime vraiment très fort Maman et moi mais...» commença mon père « on ne t'a pas toujours dit toute la vérité. La vérité c'est que n'ai pas notre fils» acheva-t-il Les larmes aux yeux. «QUOI ? Comment ça ?» hurlais je, «Mais alors vous êtes qui vous ? Et qu'est ce que je fais ici ? Et qui sont mes parents ? Et pourquoi vous ne me l'avez pas dis plus tôt ? Et, et,et ... mais qu'est ce que c'est que cette histoire a dormir debout ?» «Chéri, chéri calme toi!» intervint ma mère, « Si Papa et moi avons gardé le secret c'est dans l'unique but de ne pas de faire de choc malheureusement on aurait dut te le dire dès le début... je suis désolé » «Mais alors qui es tu ?» dis je entre deux sanglots. « Tu es toujours, et tu resteras toujours, notre fils mais pas de sang, de cœur. La vérité c'est que nous t'avons adopté. Nous ne pouvions pas avoir nos propres enfants suite à ma maladie génitale, nous avons donc décidé d'adopter un bébé, afin de pouvoir aimer et s'occuper d'un enfant. Quand nous t'avons vu à l'orphelinat, j'ai tout de suite su que c'était toi le petit garçon que je voulais. Tu étais si mignon et apeuré. C'était comme une révélation pour moi. Avec Papa nous avons donc décidé de t'accueillir chez nous et t'élever comme notre propre fils» dit ma mère, émue. A ce moment là, milles émotions se bousculaient en moi, je savais plus si j'éprouvais de la colère, de La tristesse, de La peine, de La compassion, un peu de dégoût ou de la joie. Je ne savais plus quoi penser. Soudain une idée me vint: « mais alors qui sont les parents ? Enfin Les vrais parents? » demandais je. «Malheureusement ils ont périt dans un accident de la route, de voiture il me semble, mais je n'en sait pas plus. Tu avais un an et demi c'est donc pour ça que tu ne te rappelle de rien. Tu étais encore bien trop jeune.» déclara mon père. «Je... je ne sais pas quoi dire» dis je, toujours en pleurant, mais tout de même légèrement réconforté par Les paroles de mes parents, enfin mes parents adoptifs... Mais quelle horreur de penser ça ! Mes parents adoptifs, non mais franchement ! Ils restaient mes parents non? C'était eux qui m'avaient élevé et fait devenir qui je suis aujourd'hui ! Je ne pouvais pas leur en vouloir! Et pourtant... une partie de moi disait le contraire. Mais je la faisais taire je ne voulais pas l'entendre. Mes parents me prirent dans leurs bras et m'enlacèrent donc jusqu'à ce que je ne pleure plus.
Voilà j'espère vraiment que je t'ai aidé parce que j'y passe du temps ! Bonne journée !
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Eliott78
Bonjour... pas mal du tout sauf un détail on ne se "balade" pas dans sa maison, ce verbe est inapproprié en un tel lieu clos, on se balade en ville, dans la forêt, sur la plage...par contre on peut "errer" ou "flâner" ou "rêver" dans sa maison...
clara1717
D'accord merci pour la correction :) Mais après je sais que mon texte n'est pas parfait et que quelques modifications sont parfois nécessaire mais j'ai fais de mon mieux !
Eliott78
Rassure toi, un texte n'est jamais parfait !! Tu as bien bossé je te félicite, bravo !!!!!
Lista de comentários
Je suppose que le texte peut ne pas être vrai donc je vais inventer:
Un jour, alors que je me baladais dans ma maison, j'entendis mes parents se disputer. Ils criaient tous les deux très fort et même si je n'entendais pas vraiment ce qu'ils se disaient je savais qu'ils étaient en désaccord l'un avec l'autre. Intrigué, je me rapprocha de la pièce d'où venait les cris et j'écoutais mes parents.
«Il faudra bien qu'un jour on le lui dise Martine !» criait mon père.
« Mais enfin, Alexandre tu sais bien que c'est encore bien trop tôt ! Tu imagines le choc que ça va lui faire ?» répondit ma mère.
«Ah parce que tu penses que si on attend plus longtemps encore, le choc sera moins grave ? Ce sera encore pire, réfléchis y deux minutes !»
Mais de qui pouvait bien parler mes parents ? Je ne Les avais encore jamais vu, ni entendu comme ça et j'avoue que sur le moment j'eu assez peur. Je m'éloignais sur La pointe des pieds de La porte quand soudain je trébucha. Paniqué, je déguerpis aussi vite que possible mais trop tard, mon père était déjà sorti de la pièce et me fixa, blanc comme un linge.
«Tu,... tu as entendu notre conversation ?» me demanda-t-il en bégayant.
«Euh... eh bien oui j'ai entendu une partie. Celle ou tu disais qu'il était tant de lui dire, de qui vous parliez ?» demandais je.
Sur ce, ma mère sorti à son tour de La pièce et dit:
« Eh bien, toi qui voulais a tout prix lui dire vas y maintenant ! » On entendait dans sa voix qu'elle se retenait de pleurer et cela m'inquiétais beaucoup.
«Mais de quoi vous parlez à la fin ? Dites le moi !» dis je, agacé.
Ce jour là, j'ai entendu cette phrase. Cette phrase qui a changé ma vision du monde, cette phrase qui a fait de moi une autre personne, cette phrase qui a changé ma vie.
«Écoute mon fils, tu sais qu'on t'aime vraiment très fort Maman et moi mais...» commença mon père « on ne t'a pas toujours dit toute la vérité. La vérité c'est que n'ai pas notre fils» acheva-t-il Les larmes aux yeux.
«QUOI ? Comment ça ?» hurlais je, «Mais alors vous êtes qui vous ? Et qu'est ce que je fais ici ? Et qui sont mes parents ? Et pourquoi vous ne me l'avez pas dis plus tôt ? Et, et,et ... mais qu'est ce que c'est que cette histoire a dormir debout ?»
«Chéri, chéri calme toi!» intervint ma mère, « Si Papa et moi avons gardé le secret c'est dans l'unique but de ne pas de faire de choc malheureusement on aurait dut te le dire dès le début... je suis désolé »
«Mais alors qui es tu ?» dis je entre deux sanglots.
« Tu es toujours, et tu resteras toujours, notre fils mais pas de sang, de cœur. La vérité c'est que nous t'avons adopté. Nous ne pouvions pas avoir nos propres enfants suite à ma maladie génitale, nous avons donc décidé d'adopter un bébé, afin de pouvoir aimer et s'occuper d'un enfant. Quand nous t'avons vu à l'orphelinat, j'ai tout de suite su que c'était toi le petit garçon que je voulais. Tu étais si mignon et apeuré. C'était comme une révélation pour moi. Avec Papa nous avons donc décidé de t'accueillir chez nous et t'élever comme notre propre fils» dit ma mère, émue.
A ce moment là, milles émotions se bousculaient en moi, je savais plus si j'éprouvais de la colère, de La tristesse, de La peine, de La compassion, un peu de dégoût ou de la joie. Je ne savais plus quoi penser. Soudain une idée me vint:
« mais alors qui sont les parents ? Enfin Les vrais parents? » demandais je.
«Malheureusement ils ont périt dans un accident de la route, de voiture il me semble, mais je n'en sait pas plus. Tu avais un an et demi c'est donc pour ça que tu ne te rappelle de rien. Tu étais encore bien trop jeune.» déclara mon père.
«Je... je ne sais pas quoi dire» dis je, toujours en pleurant, mais tout de même légèrement réconforté par Les paroles de mes parents, enfin mes parents adoptifs... Mais quelle horreur de penser ça ! Mes parents adoptifs, non mais franchement ! Ils restaient mes parents non?
C'était eux qui m'avaient élevé et fait devenir qui je suis aujourd'hui ! Je ne pouvais pas leur en vouloir! Et pourtant... une partie de moi disait le contraire. Mais je la faisais taire je ne voulais pas l'entendre.
Mes parents me prirent dans leurs bras et m'enlacèrent donc jusqu'à ce que je ne pleure plus.
Voilà j'espère vraiment que je t'ai aidé parce que j'y passe du temps ! Bonne journée !
Mais après je sais que mon texte n'est pas parfait et que quelques modifications sont parfois nécessaire mais j'ai fais de mon mieux !