boujour,pour demain j'ai un exercice a faire mais je ne comprends pas es que vous pourriez m'aider svp .
la questions est
Répondre a chaque question en utilisant un nombre relatif.
a.Jules César est mort 44 ans avant J.-C. En quelle année est -il mort ?

b. Aujourd'hui, le thermomètre est descendu de 8 degrés en dessous de 0. Quelle était la température ?

c. La Tour Eiffel culmine à 330 mètres au -dessous de Paris . Quelle est sa hauteur ?

d. Un spéléologue est descendu à 100 mètres en dessous du niveau de la mer . À quelle profondeur est-il allé ?​
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boujour c pour demain j'ai vraiment besoin d'aide .la question sera en dessous le texte TEXTE :MaupassantLa Parure >>>C'était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans unefamille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue,comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec unpetit commis du ministère de l'Instruction publique.Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car lesfemmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant denaissance et de famille. Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'espritsont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames.Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Ellesouffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de lalaideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pasaperçue, la torturaient et l'indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humbleménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus. Elle songeait auxantichambres nettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchèresde bronze, et aux deux grands valets de en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils,assoupis par la chaleur lourde du calorifere. Elle songeait aux grands salons vêtus de soieancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquetsparfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommesconnus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l'attention.Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, enface de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté: «Ah! le bon pot-aufeu! je ne sais rien de meilleur que cela... », elle songeait aux dîners fins, aux argenteriesreluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d'oiseauxétranges au milieu d'une forêt de féerie; elle songeait aux plats exquis servis en des vaissellesmerveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout enmangeant la chair rose d'une truite ou des ailes de gélinotte.Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien. Et elle n'aimait que cela; elle se sentait faitepour cela. Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée.Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant ellesouffrait en revenant. Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, dedésespoir et de détresse.Nouvelle parue dans le Gaulois le 17 février 1884QUESTION :Quelles répétition syntaxique font que le narrateur nous fait pénétrer dans le rêve du personnage principal ?voila j'ai vraiment besoin d'aide s'il vous plaît .​
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boujour j'ai vraiment besoin d'aide ,cela es pour demain s'il vous plaîtla question sera en dessous le texte TEXTE :MaupassantLa Parure >>>C'était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans unefamille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue,comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec unpetit commis du ministère de l'Instruction publique.Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car lesfemmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant denaissance et de famille. Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'espritsont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames.Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Ellesouffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de lalaideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pasaperçue, la torturaient et l'indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humbleménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus. Elle songeait auxantichambres nettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchèresde bronze, et aux deux grands valets de en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils,assoupis par la chaleur lourde du calorifere. Elle songeait aux grands salons vêtus de soieancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquetsparfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommesconnus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l'attention.Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, enface de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté: «Ah! le bon pot-aufeu! je ne sais rien de meilleur que cela... », elle songeait aux dîners fins, aux argenteriesreluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d'oiseauxétranges au milieu d'une forêt de féerie; elle songeait aux plats exquis servis en des vaissellesmerveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout enmangeant la chair rose d'une truite ou des ailes de gélinotte.Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien. Et elle n'aimait que cela; elle se sentait faitepour cela. Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée.Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant ellesouffrait en revenant. Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, dedésespoir et de détresse.Nouvelle parue dans le Gaulois le 17 février 1884QUESTION : Relevez les antithèses qui se mettent en place tout au long du texte entre ce qu'elle aurait aimé avoir et ce qu'elle a bref en gros la femme es pauvre es sont mari a un peu plus d'argent et la femme es triste de sa pauvreté et ... et ne se contente pas de ce qu'elle a et elle veut plus alors que son mari se contente de ce qu'il a et il es heureux et la faut trouver dans la texte les phrase qui montre ce que la femme a et ce qu'elle a mais des vrai antithèse.regarder sur internet la def de antithèse svp voila je vous es expliquer et aider moi s'il vous plaît ​
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