Cc ! ecris un court recit fantastique dans une vieille maison.. Aidez moi svvvvvpppp c pr demain !!!
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Bonsoir,. C'est l'histoire d'une maison,ou plutôt une très vieille bâtisse, très ancienne.Les habitants ,ne se lassaient pas de raconter son histoire.Un jeune couple qui venaient de se mariés en sont ressortis en pleine nuit,réveillés par des hurlements horribles qui provenaient du grenier....
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Ollie
Un exemple de récit : Finalement, pénétrer dans la vieille maison abandonnée à la lisière de la forêt avait été facile. Très facile même ! Il m'avait suffi de ramasser une pierre assez grosse, et de la lancer de toutes mes forces sur la fenêtre vermoulue aux volets cassés par le vent. Et hop ! J'avais pu ouvrir la fenêtre de l'extérieur, en glissant ma main sur la poignée à travers le carreau fracassé.
Cette poule mouillée de Franck me devait à présent vingt euros. Car voilà comment tout avait commencé, par un pari stupide. "T'oseras jamais !" m'avait lancé Franck. "Combien tu paries ?", lui avais-je lancé, narquois. "Non seulement je vais y aller, mais je vais te rapporter une preuve, n'importe quel truc que je trouverai là-bas !" "T'es fou ! Elle est hantée..." murmura-t-il en baissant la voix.
"Allons donc !" pensai-je en me faufilant par la fenêtre. "Quel naïf !" Bien sûr, la maison abandonnée avait mauvaise réputation. Un meurtre y avait été commis vingt ans plus tôt, une nuit de pleine lune - il n'avait jamais été résolu, mais peu m'importait : c'était sept ans avant ma naissance, une éternité pour moi, du haut de mes treize ans ! Et puis, par cette fin d'après-midi d'été, je ne risquais rien, il restait trois bonnes heures avant le coucher du soleil.
Il n'empêche que l'atmosphère avait quelque chose d'oppressant, comme si une menace planait dans l'air. "C'est absurde", me dis-je. Mais je n'étais pas rassuré. Le plancher craquait sous mes pas, avec un son creux très anormal, comme si... Une porte claqua brusquement à l'étage. Je sursautai. C'était impossible... Sur le chemin boueux qui menait à la vieille maison, il n'y avait pas d'autres traces de pas que les miennes, j'en étais sûr, j'avais bien vérifié... Je sentis soudain une présence malfaisante. Mon imagination commençait à me jouer des tours. Tant pis pour le pari, il fallait que je sorte d'ici au plus vite...
Soudain, j'entendis le crissement des débris de verre lorsque l'on marche dessus. Je me retournai brusquement. Le carreau de la fenêtre que j'avais brisé venait de se reconstituer. Je restais paralysé de stupeur. Non, ce n'était pas possi... Je vis alors la poignée tourner toute seule sur elle-même, lentement. J'étais enfermé.
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Cette poule mouillée de Franck me devait à présent vingt euros. Car voilà comment tout avait commencé, par un pari stupide. "T'oseras jamais !" m'avait lancé Franck. "Combien tu paries ?", lui avais-je lancé, narquois. "Non seulement je vais y aller, mais je vais te rapporter une preuve, n'importe quel truc que je trouverai là-bas !" "T'es fou ! Elle est hantée..." murmura-t-il en baissant la voix.
"Allons donc !" pensai-je en me faufilant par la fenêtre. "Quel naïf !" Bien sûr, la maison abandonnée avait mauvaise réputation. Un meurtre y avait été commis vingt ans plus tôt, une nuit de pleine lune - il n'avait jamais été résolu, mais peu m'importait : c'était sept ans avant ma naissance, une éternité pour moi, du haut de mes treize ans ! Et puis, par cette fin d'après-midi d'été, je ne risquais rien, il restait trois bonnes heures avant le coucher du soleil.
Il n'empêche que l'atmosphère avait quelque chose d'oppressant, comme si une menace planait dans l'air. "C'est absurde", me dis-je. Mais je n'étais pas rassuré. Le plancher craquait sous mes pas, avec un son creux très anormal, comme si... Une porte claqua brusquement à l'étage. Je sursautai. C'était impossible... Sur le chemin boueux qui menait à la vieille maison, il n'y avait pas d'autres traces de pas que les miennes, j'en étais sûr, j'avais bien vérifié... Je sentis soudain une présence malfaisante. Mon imagination commençait à me jouer des tours. Tant pis pour le pari, il fallait que je sorte d'ici au plus vite...
Soudain, j'entendis le crissement des débris de verre lorsque l'on marche dessus. Je me retournai brusquement. Le carreau de la fenêtre que j'avais brisé venait de se reconstituer. Je restais paralysé de stupeur. Non, ce n'était pas possi... Je vis alors la poignée tourner toute seule sur elle-même, lentement. J'étais enfermé.