A Jérusalem, les toits de la ville voient se côtoyer l'église du Saint-Sépulcre, le dôme du Rocher, la grande synagogue de Belz. Trois édifices pour trois religions. Trois religions qui ne cohabitent pas toujours en toute harmonie. Un paradoxe pour cette cité dont le nom signifie "ville de la paix" ou "la paix apparaîtra".
Les juifs sont les premiers à remarquer les atouts géographiques de ce lieu. Le roi David décide d’y fonder sa cité au Xe siècle av. J.-C. Son fils Salomon a pour mission d’élever le premier temple de pierre sur la plus haute colline, en l’honneur du Dieu d’Israêl, Yahvé. Mouvementée par les conquêtes grecques puis romaines, la capitale juive s’est trouvée bientôt détruite à partir du Ier siècle av. J.-C. La population juive y est interdite. Elle garde toutefois en mémoire le souvenir d’une ville, berceau de la religion du roi David. Malgré l’absence du temple, les juifs jetés aux portes de la ville bénissent quotidiennement Jérusalem dans leurs prières. En l’attente d’un retour en terre promise huit siècles plus tard. L’année 1947 consacre alors la réapparition du peuple juif en Israël, sur décision de l’ONU, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Les premiers musulmans priaient vers Jérusalem
Du côté des chrétiens, la ville de Jérusalem apparaît à plusieurs reprises dans la Bible, notamment dans l’Evangile de Saint Jean. Jésus s’y rend pour la fête de la Pâque et y vit ses derniers jours sur terre, jusqu’à sa crucifixion et sa résurrection. C’est l’empereur chrétien, Constantin, qui le premier, a érigé les premiers lieux saints en souvenir des derniers jours du Christ. La ville devient alors au IVe siècle une ville de pèlerinage pour les chrétiens.
Chez les musulmans, Jérusalem n’est mentionné qu’en troisième position dans la hiérarchie des villes saintes, après Médine et La Mecque. Avant de se tourner vers La Mecque pour prier, le prophète Mahomet dirigeait ses prières vers Jérusalem. C’est d’ailleurs de là que le prophète aurait effectué son « voyage nocturne » avant de revenir à La Mecque pour raconter cette expérience mystique. Pour les musulmans, Jérusalem représente l’aboutissement de leur
jespere que je tai aider mais moi en meilleur reponse et un remerciement stp passe une tres bonne journee ;)
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A Jérusalem, les toits de la ville voient se côtoyer l'église du Saint-Sépulcre, le dôme du Rocher, la grande synagogue de Belz. Trois édifices pour trois religions. Trois religions qui ne cohabitent pas toujours en toute harmonie. Un paradoxe pour cette cité dont le nom signifie "ville de la paix" ou "la paix apparaîtra".
Les juifs sont les premiers à remarquer les atouts géographiques de ce lieu. Le roi David décide d’y fonder sa cité au Xe siècle av. J.-C. Son fils Salomon a pour mission d’élever le premier temple de pierre sur la plus haute colline, en l’honneur du Dieu d’Israêl, Yahvé. Mouvementée par les conquêtes grecques puis romaines, la capitale juive s’est trouvée bientôt détruite à partir du Ier siècle av. J.-C. La population juive y est interdite. Elle garde toutefois en mémoire le souvenir d’une ville, berceau de la religion du roi David. Malgré l’absence du temple, les juifs jetés aux portes de la ville bénissent quotidiennement Jérusalem dans leurs prières. En l’attente d’un retour en terre promise huit siècles plus tard. L’année 1947 consacre alors la réapparition du peuple juif en Israël, sur décision de l’ONU, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Les premiers musulmans priaient vers Jérusalem
Du côté des chrétiens, la ville de Jérusalem apparaît à plusieurs reprises dans la Bible, notamment dans l’Evangile de Saint Jean. Jésus s’y rend pour la fête de la Pâque et y vit ses derniers jours sur terre, jusqu’à sa crucifixion et sa résurrection. C’est l’empereur chrétien, Constantin, qui le premier, a érigé les premiers lieux saints en souvenir des derniers jours du Christ. La ville devient alors au IVe siècle une ville de pèlerinage pour les chrétiens.
Chez les musulmans, Jérusalem n’est mentionné qu’en troisième position dans la hiérarchie des villes saintes, après Médine et La Mecque. Avant de se tourner vers La Mecque pour prier, le prophète Mahomet dirigeait ses prières vers Jérusalem. C’est d’ailleurs de là que le prophète aurait effectué son « voyage nocturne » avant de revenir à La Mecque pour raconter cette expérience mystique. Pour les musulmans, Jérusalem représente l’aboutissement de leur
jespere que je tai aider mais moi en meilleur reponse et un remerciement stp passe une tres bonne journee ;)