Continuer ou améliorer ma rédaction.En utilisant le contexte du fantastique. A faire vite svp Voici ma rédaction:
Mes parents et moi avions déménagés dans une cette maison et assez…assez étrange en banlieue parisienne. On y faisait pas trop attention car nous étions trop occupés à ranger.De plus n’est tant pas croyant nous n’y faisions pas attention mais ce que je ne savais pas, c’est que je n’allais pas être tranquille ici. Une nuit vers 2h du matin, quand la lune éclaircit la nuit, je ressenti une étrange sensation, une sorte d’énergies négatives,flottait autour de moi,m’enroulais. je souffla un bon coup, me prenant en main en me disant que c’était juste le fruit de mon imagination. je me rendormi mais vers 3h du matin alors qu’il faisait tout noir,d’une obscurité extrême. Juste les étoiles éclairait le ciel.Tout à coup devant moi il y avait quelque chose que je n’avais jamais vu et que je ne l’avais jamais imaginé voir de ma vie.Une créature indescriptible physiquement. Elle était grise , noire, avec des habits déchirés,son visage en sang. Elle se rapprocher de moi en souriant. Tandis que moi. j’essayé de fuir,de reculer,de l’éviter mais rien à faire. J’étais pris de peur. Elle me dit alors: « Pourquoi es-tu là ? » Je commençais à trembler, à transpiré, à avoir chaud,très chaud.
À la mis automne, mes parents avaient pris la décision de déménager dans une nouvelle ville, cependant, à notre arrivée, la ville semblait avoir été déserté, pendant que c'était à cause de notée arrivée tardive, mes parents ne n'étaient pas inquiets.
En arrivant dans notre nouvelle maison qui se situait à une dizaines de minutes de la ville, celle ci semblait elle aussi avoir été abandonnée.
Mais comme mes parents étaient fatigués du voyage, ils décidèrent de rentrer et de se reposer.
Mais, étant de nature curieux, je décidai d'aller explorer la ville et ses alentours.
Décidant de me rendre en ville, un vent d'air froid me toucha et je me sentis frémir.
À chaque pas que je faisais, je pouvais sentir les feuilles mortes sous mes pieds.
Je pouvais voir le ciel étoilé, ce soir était la pleine lune.
Après une dizaine de minutes de marche, je me rendis compte que j'étais perdu dans une forêt.
En essayant de me souvenir de mon chemin, je me rendis compte que je n'avais plus de souvenirs des dix derniers minutes.
Alors que je commençai à essayer de remarcher dans le sens opposé à la direction dans laquelle j'étais, j'entendis un murmure inaudible.
Tellement inaudible, que je ne l'entendis pas au début, cependant ce murmure commença à devenir de plus en plus fort et un bourdonnement commença à s'installer dans mes oreilles.
Le vent alors jusqu'ici frais se réchauffe d'un coup.
Je perdis alors le sens où je me dirigeai.
Une anxiété s'installa en moi, je sentis une présence et je me mis a transpirer.
C'est à ce moment que je perdis connaissance.
Mais avant de fermer les yeux, je cru apercevoir une chose venant vers moi, elle ne ressemblait en rien à un être humain.
Explications :
J'ai fait à près de la même longueur que la rédaction et j'ai essayé de terminer de la même manière que la rédaction.
idezeure
Si tu veux tu peux c vrai que je n avais pas précisé la longueur du texte. La longueur m est égale si tu veux tu peux continuer si cela te fais plaisir.
Mes parents et moi avions emménagé dans une cette maison isolée …assez étrange en banlieue parisienne au début de l'hiver . Ce que je ne savais pas, c’est que je n’allais pas être tranquille ici.
Une nuit vers 2h du matin, alors que la pleine lune brillait de tous ses feux , je ressentis une étrange sensation, une sorte de malaise , un poids sur le corps, comme si des énergies négatives,flottaient autour de moi,m’enroulaient, m'étouffaient . Je respirai calmement , pendant plusieurs minutes, tentant de me persuader que c’était juste le fruit de mon imagination et je me rendormis. Mais vers 3h du matin alors qu’il faisait noir,une obscurité profonde, la lune avait disparu, seules quelques étoiles éclairaient le ciel un bruit me sortit de mon sommeil.Tout à coup devant moi , il y eut une créature indescriptible physiquement. Elle était grise , noire, avec des habits déchirés,son visage en sang, de longs bras , des cheveux hirsutes: l'horreur! J'étais terrorisé , paralysé, le regard fixé sur ce monstre Elle se rapprocha de moi en souriant. Tandis que moi, j'étais incapable de fuir,de reculer,de l’éviter .
Elle me dit alors:
« Pourquoi es-tu là ? »
Je commençai à trembler, à transpirer, à avoir chaud, très chaud, comme si elle irradiait une chaleur insoutenable . Elle avançait lentement, sur ses jambes décharnées , toujours le sourire aux lèvres.
"N'aie pas peur, je ne fais que passer! Ta chambre est sur ma route, je sais que j'effraie tout le monde, et pourtant j'essaie de ne pas faire de bruit, de me faufiler, de ne pas me faire remarquer!"
Ses paroles m'apaisèrent :
"- Voulez-vous que j'ouvre la fenêtre?
- Oui, s'il te plaît, je profiterai du courant d'air, passer à travers les murs ,me blesse souvent.
- C'est pour ça que vous êtes en sang?
- Et aussi mes vêtements déchirés! "
Je trouvai la force d'ouvrir la fenêtre , elle s'y engouffra , en me faisant un petit signe de la main. Je ne l'ai jamais revue, et c'est la première fois que j'en parle.
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À la mis automne, mes parents avaient pris la décision de déménager dans une nouvelle ville, cependant, à notre arrivée, la ville semblait avoir été déserté, pendant que c'était à cause de notée arrivée tardive, mes parents ne n'étaient pas inquiets.
En arrivant dans notre nouvelle maison qui se situait à une dizaines de minutes de la ville, celle ci semblait elle aussi avoir été abandonnée.
Mais comme mes parents étaient fatigués du voyage, ils décidèrent de rentrer et de se reposer.
Mais, étant de nature curieux, je décidai d'aller explorer la ville et ses alentours.
Décidant de me rendre en ville, un vent d'air froid me toucha et je me sentis frémir.
À chaque pas que je faisais, je pouvais sentir les feuilles mortes sous mes pieds.
Je pouvais voir le ciel étoilé, ce soir était la pleine lune.
Après une dizaine de minutes de marche, je me rendis compte que j'étais perdu dans une forêt.
En essayant de me souvenir de mon chemin, je me rendis compte que je n'avais plus de souvenirs des dix derniers minutes.
Alors que je commençai à essayer de remarcher dans le sens opposé à la direction dans laquelle j'étais, j'entendis un murmure inaudible.
Tellement inaudible, que je ne l'entendis pas au début, cependant ce murmure commença à devenir de plus en plus fort et un bourdonnement commença à s'installer dans mes oreilles.
Le vent alors jusqu'ici frais se réchauffe d'un coup.
Je perdis alors le sens où je me dirigeai.
Une anxiété s'installa en moi, je sentis une présence et je me mis a transpirer.
C'est à ce moment que je perdis connaissance.
Mais avant de fermer les yeux, je cru apercevoir une chose venant vers moi, elle ne ressemblait en rien à un être humain.
Explications :
J'ai fait à près de la même longueur que la rédaction et j'ai essayé de terminer de la même manière que la rédaction.
La longueur m est égale si tu veux tu peux continuer si cela te fais plaisir.
Bonsoir;
Mes parents et moi avions emménagé dans une cette maison isolée …assez étrange en banlieue parisienne au début de l'hiver . Ce que je ne savais pas, c’est que je n’allais pas être tranquille ici.
Une nuit vers 2h du matin, alors que la pleine lune brillait de tous ses feux , je ressentis une étrange sensation, une sorte de malaise , un poids sur le corps, comme si des énergies négatives,flottaient autour de moi,m’enroulaient, m'étouffaient . Je respirai calmement , pendant plusieurs minutes, tentant de me persuader que c’était juste le fruit de mon imagination et je me rendormis. Mais vers 3h du matin alors qu’il faisait noir,une obscurité profonde, la lune avait disparu, seules quelques étoiles éclairaient le ciel un bruit me sortit de mon sommeil.Tout à coup devant moi , il y eut une créature indescriptible physiquement. Elle était grise , noire, avec des habits déchirés,son visage en sang, de longs bras , des cheveux hirsutes: l'horreur! J'étais terrorisé , paralysé, le regard fixé sur ce monstre Elle se rapprocha de moi en souriant. Tandis que moi, j'étais incapable de fuir,de reculer,de l’éviter .
Elle me dit alors:
« Pourquoi es-tu là ? »
Je commençai à trembler, à transpirer, à avoir chaud, très chaud, comme si elle irradiait une chaleur insoutenable .
Elle avançait lentement, sur ses jambes décharnées , toujours le sourire aux lèvres.
"N'aie pas peur, je ne fais que passer! Ta chambre est sur ma route, je sais que j'effraie tout le monde, et pourtant j'essaie de ne pas faire de bruit, de me faufiler, de ne pas me faire remarquer!"
Ses paroles m'apaisèrent :
"- Voulez-vous que j'ouvre la fenêtre?
- Oui, s'il te plaît, je profiterai du courant d'air, passer à travers les murs ,me blesse souvent.
- C'est pour ça que vous êtes en sang?
- Et aussi mes vêtements déchirés! "
Je trouvai la force d'ouvrir la fenêtre , elle s'y engouffra , en me faisant un petit signe de la main.
Je ne l'ai jamais revue, et c'est la première fois que j'en parle.