Bonjour, j'ai un sujet d'argumentation à faire pour aujourd'hui et si vous pouviez me donner des idées de debut (pour/contre) en fonction du sujet.merci Sujet: Deux habitants de Thèbes discutent de "l'affaire " Antigone après la mort de celle ci. Le premier trouve la jeune fille a eu raison de vouloir enterrer son frère tandis que le second trouve un tel acte parfaitement ridicule et inutile
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aliénorda
Gidée à mettre en forme : - si l'homme (être humain) est, à ce que l'on dit, un simple descendant de l'animal, une carcasse de chair et d'os douée de réflexes et de sensations, ALORS, la mort n'est que la fin certaine de toute cette carcasse, telle un fruit qui pourrit, se décompose puis disparaît. A quoi bon le mettre en terre: on n'entreprend pas les funérailles d'une pomme, d'un chien... - MAIS... si l'on convient que l'homme abrite un principe immatériel allant bien au-delà des réflexes et la sensitivité, si l'on constate qu'il est sensible, affectif, rationnel, spirituel et que ces attributs interagissent ( l'affectivité d'un être rationnel n'est pas de même nature que celle de l'animal...), que la raison ne peut admettre une éclosion, une génération spontanée d'une telle importance, ALORS, on doit admettre que l'esprit ( terme commun pour exprimer ce principe immatériel) lui est infusé lui est donné( presque toutes les civilisations appellent ce " donateur, Dieu). Dès lors, l'homme ne s'appartient plus et si l'on est sûr que la mort constitue la déchéance de l'enveloppe corporelle ( on peut le démontrer rationnellement), on ne sais rien, on n'est pas sûr du devenir de l' intériorité immatérielle. La mort n'est qu'une certitude physiologique mais qu'en est-il du reste ? Dans le doute, je préfère (dit l'une des soeurs) montrer des marques de respect à ce qui fut un esprit et qui perdure sans doute encore ( et puis par la même occasion, je résiste aux ordres du Prince, de ce Créon qui gouverne à coups d'oukases, et cette révolte est ma raison d'être, dit-elle). Excellent travail pour vous!
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- si l'homme (être humain) est, à ce que l'on dit, un simple descendant de l'animal, une carcasse de chair et d'os douée de réflexes et de sensations, ALORS, la mort n'est que la fin certaine de toute cette carcasse, telle un fruit qui pourrit, se décompose puis disparaît. A quoi bon le mettre en terre: on n'entreprend pas les funérailles d'une pomme, d'un chien...
- MAIS... si l'on convient que l'homme abrite un principe immatériel allant bien au-delà des réflexes et la sensitivité, si l'on constate qu'il est sensible, affectif, rationnel, spirituel et que ces attributs interagissent ( l'affectivité d'un être rationnel n'est pas de même nature que celle de l'animal...), que la raison ne peut admettre une éclosion, une génération spontanée d'une telle importance, ALORS, on doit admettre que l'esprit ( terme commun pour exprimer ce principe immatériel) lui est infusé lui est donné( presque toutes les civilisations appellent ce " donateur, Dieu).
Dès lors, l'homme ne s'appartient plus et si l'on est sûr que la mort constitue la déchéance de l'enveloppe corporelle ( on peut le démontrer rationnellement), on ne sais rien, on n'est pas sûr du devenir de l' intériorité immatérielle. La mort n'est qu'une certitude physiologique mais qu'en est-il du reste ? Dans le doute, je préfère (dit l'une des soeurs) montrer des marques de respect à ce qui fut un esprit et qui perdure sans doute encore ( et puis par la même occasion, je résiste aux ordres du Prince, de ce Créon qui gouverne à coups d'oukases, et cette révolte est ma raison d'être, dit-elle).
Excellent travail pour vous!