Coucou vous privez m’écrire en urgence pour demain la suite de A cheval de Guy Maupassant avec une fin cohérente , écrit dans un langage assez soutenu , une continuation d’histoire en une vingtaine de ligne minimum voici l’histoire ci dessous
La situation d'Hector de Gribelin et de sa famille devint de plus en plus difficile à mesure que le temps passait. La malheureuse rencontre avec Mme Simon, qui prétendait être gravement blessée, avait engendré des dépenses inattendues et un fardeau financier insupportable. La vieille femme s'était installée dans une maison de santé, tout en se plaignant de douleurs insurmontables et en réclamant sans cesse de l'argent pour son prétendu état de santé déplorable.
Hector avait essayé de la faire examiner par plusieurs médecins, mais tous avaient abouti à la même conclusion : il était impossible de déterminer la véracité de ses douleurs. Mme Simon continuait à prétendre qu'elle ne pouvait pas marcher, tandis que les médecins se montraient perplexes et incapables de donner un diagnostic précis.
La situation financière de la famille de Gribelin s'était détériorée. Les économies avaient fondu à mesure que les coûts médicaux augmentaient, et la famille était sur le point de devoir prendre des mesures drastiques pour faire face à cette crise. Hector avait déjà licencié la bonne pour économiser de l'argent, mais cela ne suffisait pas.
Un jour, alors que la situation semblait désespérée, un ami de la famille vint à leur rescousse. C'était un homme riche et généreux qui avait entendu parler des malheurs d'Hector et de sa famille. Il proposa de prendre en charge les frais médicaux de Mme Simon, espérant mettre un terme à cette situation cauchemardesque.
Le soulagement fut immense pour Hector et sa femme. Ils acceptèrent avec gratitude l'offre de leur ami, espérant que Mme Simon finirait par guérir ou qu'elle serait démasquée. Les semaines passèrent, et la vieille femme continua de prétendre qu'elle ne pouvait pas marcher.
Un jour, le coup de grâce tomba. Mme Simon, malgré les soins médicaux et les généreuses dépenses de l'ami de la famille, décéda soudainement. Une autopsie révéla qu'elle ne souffrait d'aucune blessure grave, ce qui confirma les soupçons de tous.
La famille de Gribelin fut enfin libérée de cette escroquerie, mais le coût émotionnel et financier avait été énorme. Ils décidèrent de reconstruire leur vie, de continuer à lutter contre leur situation difficile, et de ne jamais oublier l'épisode malheureux de Mme Simon qui les avait poussés à bout.
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La situation d'Hector de Gribelin et de sa famille devint de plus en plus difficile à mesure que le temps passait. La malheureuse rencontre avec Mme Simon, qui prétendait être gravement blessée, avait engendré des dépenses inattendues et un fardeau financier insupportable. La vieille femme s'était installée dans une maison de santé, tout en se plaignant de douleurs insurmontables et en réclamant sans cesse de l'argent pour son prétendu état de santé déplorable.
Hector avait essayé de la faire examiner par plusieurs médecins, mais tous avaient abouti à la même conclusion : il était impossible de déterminer la véracité de ses douleurs. Mme Simon continuait à prétendre qu'elle ne pouvait pas marcher, tandis que les médecins se montraient perplexes et incapables de donner un diagnostic précis.
La situation financière de la famille de Gribelin s'était détériorée. Les économies avaient fondu à mesure que les coûts médicaux augmentaient, et la famille était sur le point de devoir prendre des mesures drastiques pour faire face à cette crise. Hector avait déjà licencié la bonne pour économiser de l'argent, mais cela ne suffisait pas.
Un jour, alors que la situation semblait désespérée, un ami de la famille vint à leur rescousse. C'était un homme riche et généreux qui avait entendu parler des malheurs d'Hector et de sa famille. Il proposa de prendre en charge les frais médicaux de Mme Simon, espérant mettre un terme à cette situation cauchemardesque.
Le soulagement fut immense pour Hector et sa femme. Ils acceptèrent avec gratitude l'offre de leur ami, espérant que Mme Simon finirait par guérir ou qu'elle serait démasquée. Les semaines passèrent, et la vieille femme continua de prétendre qu'elle ne pouvait pas marcher.
Un jour, le coup de grâce tomba. Mme Simon, malgré les soins médicaux et les généreuses dépenses de l'ami de la famille, décéda soudainement. Une autopsie révéla qu'elle ne souffrait d'aucune blessure grave, ce qui confirma les soupçons de tous.
La famille de Gribelin fut enfin libérée de cette escroquerie, mais le coût émotionnel et financier avait été énorme. Ils décidèrent de reconstruire leur vie, de continuer à lutter contre leur situation difficile, et de ne jamais oublier l'épisode malheureux de Mme Simon qui les avait poussés à bout.