Cet homme avait l'air si abandonné, si misérable, la tête baissée avec une expression pitoyable. C'était un homme d'une cinquantaine d'années, plutôt mince, tout ratatiné. Il était vêtu d'un pantalon marron et d'un manteau de grossier drap noir. Il avait une main appuyée sur un gros bâton et l'autre était tendue pour demander de l'argent aux passants.
Voilà !
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touteouie
C'est bien mais il n'y a pas le portrait moral
Cet homme était toujours assis sur le même banc à l'entrée d'un jardin public avec un sac à dos qu'il tenait fermement contre lui comme si son âme et sa vie en dépendaient. Sa présence dans ce lieu était en quelque sorte un rituel, puisqu'il s'y trouvait tous les matins. Seul, la tête baissée, le regard fuyant et méfiant lorsque les passants le regardait, il avait l'air soulagé quand enfin les curieux disparaissaient. Il semblait terrassé par la pauvreté et la misère, on pouvait le voir grâce à ses habits qui ressemblaient plutôt à des guenilles et à sa peau visible qui étaient très sale. Il semblait endormi, son visage n'avait plus vraiment d'expression et pourtant une certaine lueur se laissait entrevoir au fond des ses yeux cernés ainsi qu'une certaine humanité et quand il levait enfin la tête, on sentait alors à ce moment qu'il avait des choses à nous dire, il semblait vouloir exprimer ses sentiments, raconter son histoire. D'apparence calme, mélancolique et triste, cet homme devait avoir une soixantaine d'années mais peut-être que ses rides qui lui barraient le front étaient accentuées à cause du froid, du vent et d'une mauvaise hygiène. Son corps étrangement robuste et massif en imposait, ses lèvres par contre étaient asséchées sûrement par la soif, et ses mains paraissaient agiles, on pouvait penser qu'il avait exercer un métier physique et manuel. Être libre sur ce banc même pauvre paraissait être la seule chose qui comptait pour lui, il ne cherchait pas à engager la moindre conversation, il ne faisait pas la mendicité, ni à inspirer de la pitié et on pouvait lire en lui une certaine sérénité d'une vie loin d'être terminée.
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Cet homme avait l'air si abandonné, si misérable, la tête baissée avec une expression pitoyable. C'était un homme d'une cinquantaine d'années, plutôt mince, tout ratatiné. Il était vêtu d'un pantalon marron et d'un manteau de grossier drap noir. Il avait une main appuyée sur un gros bâton et l'autre était tendue pour demander de l'argent aux passants.
Voilà !
Réponse :
Bonjour,
Cet homme était toujours assis sur le même banc à l'entrée d'un jardin public avec un sac à dos qu'il tenait fermement contre lui comme si son âme et sa vie en dépendaient. Sa présence dans ce lieu était en quelque sorte un rituel, puisqu'il s'y trouvait tous les matins. Seul, la tête baissée, le regard fuyant et méfiant lorsque les passants le regardait, il avait l'air soulagé quand enfin les curieux disparaissaient. Il semblait terrassé par la pauvreté et la misère, on pouvait le voir grâce à ses habits qui ressemblaient plutôt à des guenilles et à sa peau visible qui étaient très sale. Il semblait endormi, son visage n'avait plus vraiment d'expression et pourtant une certaine lueur se laissait entrevoir au fond des ses yeux cernés ainsi qu'une certaine humanité et quand il levait enfin la tête, on sentait alors à ce moment qu'il avait des choses à nous dire, il semblait vouloir exprimer ses sentiments, raconter son histoire. D'apparence calme, mélancolique et triste, cet homme devait avoir une soixantaine d'années mais peut-être que ses rides qui lui barraient le front étaient accentuées à cause du froid, du vent et d'une mauvaise hygiène. Son corps étrangement robuste et massif en imposait, ses lèvres par contre étaient asséchées sûrement par la soif, et ses mains paraissaient agiles, on pouvait penser qu'il avait exercer un métier physique et manuel. Être libre sur ce banc même pauvre paraissait être la seule chose qui comptait pour lui, il ne cherchait pas à engager la moindre conversation, il ne faisait pas la mendicité, ni à inspirer de la pitié et on pouvait lire en lui une certaine sérénité d'une vie loin d'être terminée.