La pendule sonne onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu’il est éteint tout à fait... Oh ! non, je n’ose pas dire ce qui arrive, personne ne me croit, et l’on me prend pour un fou.
Les bougies s’allument toutes seules ; le soufflet, sans qu’aucun être visible lui imprime le mouvement, se prit à souffler le feu, en râlant comme un vieillard asthmatique, pendant que les pincettes fourgonnent dans les tisons et que la pelle relève les cendres. Ensuite une cafetière se jette en bas d’une table où elle est posée, et se dirige, clopin-clopant, vers le foyer, où elle se place entre les tisons.
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Réponse :
La pendule sonne onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu’il est éteint tout à fait... Oh ! non, je n’ose pas dire ce qui arrive, personne ne me croit, et l’on me prend pour un fou.
Les bougies s’allument toutes seules ; le soufflet, sans qu’aucun être visible lui imprime le mouvement, se prit à souffler le feu, en râlant comme un vieillard asthmatique, pendant que les pincettes fourgonnent dans les tisons et que la pelle relève les cendres. Ensuite une cafetière se jette en bas d’une table où elle est posée, et se dirige, clopin-clopant, vers le foyer, où elle se place entre les tisons.