Bonjour est ce que vous pouvez m'expliquer le résumé du livre la peur de Maupassant, aller voir la vidéo sur ytb de: audiolude- livre audio: la peur, Guy Maupassant. Pour lire/écouter l'histoire, merci beaucoup.
Réponse : Le capitaine du navire raconte une histoire à son équipage, en disant qu’il a eu peur. Un homme corrige le capitaine, en expliquant selon lui ce qu'est la vraie peur, car pour lui, cela n'a rien à voir avec le fait d'être "ému, agité".
Il l’a ressentie la première fois, en Afrique, dans le désert durant une tempête de sable. Ils étaient 2 amis, 8 spahis et quatre chameaux avec leurs chameliers. Mais ils étaient à court d’eau, accablés de chaleur et de fatigue. Alors ils entendirent au loin un mystérieux tambour. Ils étaient tous épouvantés et, pour ne rien arranger, un Arabe dit : « La mort est sur nous ». L’ami du narrateur tomba de son cheval à cause d’une insolation. Pendant 2 heures on essaya de le réanimer... le tambour battant toujours. Ça, c’est la peur « en face de ce cadavre aimé, dans ce trou incendié par le soleil entre quatre monts de sable, tandis que l’écho inconnu jetait, à deux cents lieues de tout village français, le battement rapide du tambour. »
La deuxième vraie peur fut durant un hiver dans une forêt du nord-est de la France en pleine tempête, le narrateur, accompagné d'un guide, un paysan, se réfugia chez un homme qui avait tué un braconnier et vivait avec ses deux fils mariés. Il pensait que le braconnier allait venir se venger alors l’ambiance fut tendue toute la soirée et, lorsque le chien se mit à hurler, tout le monde fut complètement angoissé ; alors on mit le chien dehors mais un visage se fit voir par une petite fenêtre, à ce moment l’homme tira. Tout le monde resta figé toute la nuit de peur et on n'osa bouger qu’au premier rayon de soleil. C'est alors qu'on découvrit le chien, mort d’une balle dans la tête.
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baghdsasm
Donc si je comprends bien, la vraie peur est la mort?
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Réponse : Le capitaine du navire raconte une histoire à son équipage, en disant qu’il a eu peur. Un homme corrige le capitaine, en expliquant selon lui ce qu'est la vraie peur, car pour lui, cela n'a rien à voir avec le fait d'être "ému, agité".
Il l’a ressentie la première fois, en Afrique, dans le désert durant une tempête de sable. Ils étaient 2 amis, 8 spahis et quatre chameaux avec leurs chameliers. Mais ils étaient à court d’eau, accablés de chaleur et de fatigue. Alors ils entendirent au loin un mystérieux tambour. Ils étaient tous épouvantés et, pour ne rien arranger, un Arabe dit : « La mort est sur nous ». L’ami du narrateur tomba de son cheval à cause d’une insolation. Pendant 2 heures on essaya de le réanimer... le tambour battant toujours. Ça, c’est la peur « en face de ce cadavre aimé, dans ce trou incendié par le soleil entre quatre monts de sable, tandis que l’écho inconnu jetait, à deux cents lieues de tout village français, le battement rapide du tambour. »
La deuxième vraie peur fut durant un hiver dans une forêt du nord-est de la France en pleine tempête, le narrateur, accompagné d'un guide, un paysan, se réfugia chez un homme qui avait tué un braconnier et vivait avec ses deux fils mariés. Il pensait que le braconnier allait venir se venger alors l’ambiance fut tendue toute la soirée et, lorsque le chien se mit à hurler, tout le monde fut complètement angoissé ; alors on mit le chien dehors mais un visage se fit voir par une petite fenêtre, à ce moment l’homme tira. Tout le monde resta figé toute la nuit de peur et on n'osa bouger qu’au premier rayon de soleil. C'est alors qu'on découvrit le chien, mort d’une balle dans la tête.