Ecrire une récit policerce ne fut que vers 8 heures du soir quand la nuit aller ......................... je n'est aucune idée le récit doit être assez vous 10 -15 ligne le meurtre doit être a la fin
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rictusimpra
IL était 8 heures du soir, quand la nuit allait recouvrir toute la ville.Dehors on entendait la cloche de l'église sonner les 8 coups .Installée devant un feu de cheminée, bien au chaud je lisais tranquillement mon livre policier avec Hercule Poirot.J'entendais le vent souffler, les volets de ma chambre claquèrent , je me levais pour aller les fermer. Au moment où j'ouvrais la fenêtre j'entends dehors un hurlement .Etait-ce le vent? La tempête qui arrivait ou mon roman que j'avais hâte de retrouver qui me faisaient entendre un cri? Je me penchais, je vis sur ma droite un homme à capuche serrer le cou d'un autre tout en blanc qui se débattait . Il demandait grâce,il disait qu'il voulait vivre, qu'il regrettait, qu'il n'aurait pas dû . C'était horrible , je vivais en direct un assassinat . Le meurtrier ne me voyait pas il ne savait pas que j'étais là à le voir commettre son crime . L'autre homme donna des coups de pied essayait d'enlever les mains qui lui serraient la gorge. Pendant que l'homme habillé de blanc se débattait je courus appeler la police, puis je retournais à la fenêtre en me cachant. L'homme rendait son dernier souffle de vie,il s'affaissa. Un rire de dément sortit de la bouche du meurtrier à capuche qui partit rapidement en criant au mort d'aller au diable .Et dire que j'adore les livres policiers , moi qui allait bientôt être interrogé comme témoin ,j'aurai préféré ne rien n'avoir entendu.
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Je me penchais, je vis sur ma droite un homme à capuche serrer le cou d'un autre tout en blanc qui se débattait . Il demandait grâce,il disait qu'il voulait vivre, qu'il regrettait, qu'il n'aurait pas dû . C'était horrible , je vivais en direct un assassinat . Le meurtrier ne me voyait pas il ne savait pas que j'étais là à le voir commettre son crime . L'autre homme donna des coups de pied essayait d'enlever les mains qui lui serraient la gorge.
Pendant que l'homme habillé de blanc se débattait je courus appeler la police, puis je retournais à la fenêtre en me cachant. L'homme rendait son dernier souffle de vie,il s'affaissa.
Un rire de dément sortit de la bouche du meurtrier à capuche qui partit rapidement en criant au mort d'aller au diable .Et dire que j'adore les livres policiers , moi qui allait bientôt être interrogé comme témoin ,j'aurai préféré ne rien n'avoir entendu.
Voilà à plus.