écrire une scene de théâtre ou Cyrano déclare ça flamme a Roxane et essaie de la convaincre que le phisique n'a pas d'inportance (3 argument) entre 30 et 40 lignes
"Oh, Roxane, ma cousine, j'ai quelque chose à t'annoncer. Non, non ! Ça ne marche pas... Bon. Je recommence. Ma précieuse et douce Roxane, depuis toujours, je t'aime, je te savoure... Non, non! Trop rapide ! Concentre toi, concentre toi. Roxane, ma douce précieuse, ma cousine, écoute moi bien. Le premier jour que je t'ai vu, tu étais déjà resplendissante. Je t'aime, je t'ai toujours aimé, je t'aimerais toujours. Je sais ! Je sais ! Christian est déjà ton homme. Mais, si un jour, vous changeriez d'avis, moi, je vous attends. Je suis laid, il est beau mais je suis poète et il est bête. J'ai, je sais, un nez, un nez ! Mais, jamais un homme ne compose comme je compose, jamais un homme ne parle comme je parle, jamais un homme n'aime comme je vous aime. Je suis amoureux, oui, amoureux de vous. Non, pire ! Je suis fou, oui fou de vous Roxane. Ma douce, ma précieuse Roxane. Je vous aime, je vous aime. Ne partez pas, dites, j'en souffrirais; mais si je ne suis pas votre bien aimé alors au revoir. Je vous aime, je vous ai toujours
aimé, je vous aimerais à jamais. (...)"
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axel29devoir
salut t'es trop fort tu peux faire la même mais avec plus de détails sur le phisique stp
Compte supprimé
il possède un nez démesurément long et en souffre énormément
Lista de comentários
salutations,
Voici ce que tu pourrais dire :
"Oh, Roxane, ma cousine, j'ai quelque chose à t'annoncer. Non, non ! Ça ne marche pas... Bon. Je recommence. Ma précieuse et douce Roxane, depuis toujours, je t'aime, je te savoure... Non, non! Trop rapide ! Concentre toi, concentre toi. Roxane, ma douce précieuse, ma cousine, écoute moi bien. Le premier jour que je t'ai vu, tu étais déjà resplendissante. Je t'aime, je t'ai toujours aimé, je t'aimerais toujours. Je sais ! Je sais ! Christian est déjà ton homme. Mais, si un jour, vous changeriez d'avis, moi, je vous attends. Je suis laid, il est beau mais je suis poète et il est bête. J'ai, je sais, un nez, un nez ! Mais, jamais un homme ne compose comme je compose, jamais un homme ne parle comme je parle, jamais un homme n'aime comme je vous aime. Je suis amoureux, oui, amoureux de vous. Non, pire ! Je suis fou, oui fou de vous Roxane. Ma douce, ma précieuse Roxane. Je vous aime, je vous aime. Ne partez pas, dites, j'en souffrirais; mais si je ne suis pas votre bien aimé alors au revoir. Je vous aime, je vous ai toujours
aimé, je vous aimerais à jamais. (...)"