Je me permets de vous écrire cette lettre en mon nom personnel, en tant que Javert, ancien policier de la ville de Paris. Je sais que nos relations passées n'ont pas été des plus agréables, mais aujourd'hui je tiens à vous exprimer ma reconnaissance pour votre honnêteté et votre courage.
Je me souviens de notre dernière rencontre, lorsque vous avez sauvé ma vie en m'évitant de tomber dans les eaux de la Seine. Cette action désintéressée a été pour moi un choc, car elle a remis en question toutes mes certitudes sur la nature humaine.
Depuis ce jour, je n'ai cessé de réfléchir à mes actes passés en tant que policier, à cette justice que j'ai appliquée sans la moindre pitié. Je réalise maintenant que cette justice n'était pas toujours juste, qu'elle pouvait être aveugle et cruelle. J'ai compris que ma vision du Bien et du Mal était peut-être trop manichéenne, et que l'être humain était plus complexe que ce que je pensais.
Je ne suis pas venu vous demander pardon, car je sais que mes actes passés sont impardonnables. Mais je tenais à vous exprimer mon respect pour votre courage et votre humanité, et vous remercier pour m'avoir fait prendre conscience de mes erreurs.
Je vous souhaite une belle vie, Monsieur Valjean, et je vous prie d'agréer l'expression de mes salutations les plus sincères.
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Réponse : Bonjour,
Cher Monsieur Valjean,
Je me permets de vous écrire cette lettre en mon nom personnel, en tant que Javert, ancien policier de la ville de Paris. Je sais que nos relations passées n'ont pas été des plus agréables, mais aujourd'hui je tiens à vous exprimer ma reconnaissance pour votre honnêteté et votre courage.
Je me souviens de notre dernière rencontre, lorsque vous avez sauvé ma vie en m'évitant de tomber dans les eaux de la Seine. Cette action désintéressée a été pour moi un choc, car elle a remis en question toutes mes certitudes sur la nature humaine.
Depuis ce jour, je n'ai cessé de réfléchir à mes actes passés en tant que policier, à cette justice que j'ai appliquée sans la moindre pitié. Je réalise maintenant que cette justice n'était pas toujours juste, qu'elle pouvait être aveugle et cruelle. J'ai compris que ma vision du Bien et du Mal était peut-être trop manichéenne, et que l'être humain était plus complexe que ce que je pensais.
Je ne suis pas venu vous demander pardon, car je sais que mes actes passés sont impardonnables. Mais je tenais à vous exprimer mon respect pour votre courage et votre humanité, et vous remercier pour m'avoir fait prendre conscience de mes erreurs.
Je vous souhaite une belle vie, Monsieur Valjean, et je vous prie d'agréer l'expression de mes salutations les plus sincères.
Javert