Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c'est le mois où l'on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds? Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive; Elle me regarda pour la seconde fois, Et la belle folâtre alors devint pensive. Oh! comme les oiseaux chantaient au fond des bois! Comme l'eau caressait doucement le rivage! Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts, La belle fille heureuse, effarée et sauvage, Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers. bonjour ! Qui pourrais m’inventer une suite à ce poème svp ?! merci d’avance :)
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alyssiabevierr
Au travers de toute magie, agis les yeux dans l’eau Bleu son regard se pose, elle est l’âme de cette verdure Nature avance au vent , en mon reflet La fleur prend peur. Il faut la cueillir avec délicatesse, La pureté de son cœur dénonce son innocence. Sans connaissance de vie, ses yeux brûle. Hurlant à la vrai vie, je l’envie.
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Bleu son regard se pose, elle est l’âme de cette verdure
Nature avance au vent , en mon reflet
La fleur prend peur.
Il faut la cueillir avec délicatesse,
La pureté de son cœur dénonce son innocence.
Sans connaissance de vie, ses yeux brûle.
Hurlant à la vrai vie, je l’envie.