en un paragraphe d'une quinzaine de lignes,vous défendez l'idée suivante : c'est parfois au coeur de l'homme plutot qu'& sa pensée qu'il vaut mieux s'adresser .
SVp aidez moi :)
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Radia31
Qui n’a, ne peut. Où il n’y a que prendre, Rien ne sert amende. Où il n’y a pas de quoi, Le roi perd son droit. Qui a des noix, en casse; Qui n’en a pas, s’en passe. Quand il n’y en a plus, il y en a encore. Qui terre a, guerre a; Qui rien a, pis a. Abandon fait larron. Un grand homme ne s’abandonne pas lui-même. Tout chien qui aboie, ne mord pas. Un bon chien n’aboie point à faux. Cf. Chien. Abondance de bien ne nuit pas. Ce qui abonde ne vicie pas. Qui mieux abreuve, mieux preuve. Homme sans abri , oiseau sans nid. Les absents ont toujours tort. Les présents valent mieux que les absents. Les os sont pour les absents. On oublie vite les absents. Chute d’ardoise pèse plus au présent, Que chute de tour à l’absent. Avant d’admettre l’absurde, on épuise toutes les suppositions. Qui achète ce qu’il ne peut, Vend, après, ce qu’il ne veut. Qui achète le superflu , vendra bientôt le nécessaire. Il y a plus de fous acheteurs Que de fous vendeurs. Mieux vaut acheter qu’emprunter. Ne pas acheter, c’est se faire une rente. Achète en foire, et vends à la maison. Il ne faut pas acheter chat en poche. Les plus accommodants sont les plus habiles. Un méchant accommodement vaut mieux que le meilleur procès. Mieux vaut être seul, que mal accompagné. L’accusation doit donner ses preuves, ou être non avenue. Il n’est tel acquêt que le don. Ne fait pas bon trop acquerre. Ce que l’on acquiert méchamment; On le dépense sottement. Bien mal acquis ne prospère jamais
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