Est ce que qu'un a deja lu le livre la vague pouvais vous me le dire svp
Lista de comentários
Minecraft44
Oui, si tu veux plus d'informations, voici le court résumé :D :
Tout commence dans la classe d’Histoire du lycée. Ben Ross, le professeur, projette à ses élèves un documentaire sur les camps de concentration et d’extermination de la Seconde Guerre mondiale. Les réactions sont alors différentes : choc, questionnement ou indifférence de ceux qui dormaient au lieu de suivre le film… Certains parmi les plus attentifs, comme Laurie Saunders (rédactrice en chef du journal de l’établissement, le Gordon Grapevine), s’attardent après le cours afin de pouvoir poser des questions à leur professeur. « […] Pourquoi personne n’a essayé de les arrêter ? » « Comment pourrait-on massacrer dix millions de gens sans que personne s’en aperçoive ? » « Comment les Allemands ont-ils pu laisser les nazis assassiner des gens presque sous leurs yeux pour ensuite affirmer qu’ils n’en savaient rien ? Comment ont-ils pu faire une chose pareille ? Comment ont-ils même pu dire une chose pareille ? » « Ma seule réponse, c’est que les nazis étaient extrêmement bien organisés et redoutés de tous. L’attitude du reste de la population reste un mystère… Pourquoi n’avoir rien fait pour les arrêter ? Pourquoi affirmer ne pas être au courant ? Nous n’en savons rien. ». Tandis que tous les élèves présents s’indignent, et affirment avec véhémence que jamais ils n’auraient laissé de telles choses se dérouler, Ben se questionne fortement sur le fait qu’il ne puisse pas répondre à la plupart de leurs interrogations. À partir de cette constatation, il décide d’effectuer une petite expérience avec eux, afin de comprendre les agissements observés durant la période nazie. Pour Ben, cette expérience se veut bien plus didactique qu’une simple « explication académique », car « la réponse ne figure dans aucun livre. Peut-être que les élèves doivent la trouver par eux-mêmes. » La première heure du projet, Ben la prépare comme s’il « bachot[ait] pour passer [son] diplôme de dictateur » suivant les termes humoristiques (bien que malheureusement prémonitoire) de sa femme Christy (professeur de chant et de musique dans le même lycée).
Durant ce fameux cours, il annonce le premier slogan du mouvement qu’il fait naître : « La Force par la Discipline ». Il ordonne une posture droite, mettant en disposition pour être attentif et concentré, qu’il indique en prenant comme exemple le souffre-douleur de la classe, Robert Billings (pour le faire participer et lui redonner de l’estime de soi). Il instaure également trois règles : « Premièrement, tout le monde doit apporter ses propres affaires pour prendre des notes. Deuxièmement, lorsque vous poserez ou répondrez à une question, vous devez vous lever et vous placer à côté de votre table. Et troisièmement, vous commencerez vos questions ou réponses par " Monsieur Ross ". » S’ensuit une série de questions/réponses courtes et de plus en plus spontanées, qui stimule et motive les élèves. Cette première journée d’expérience se solde par quelques éléments intéressants pour la suite : Laurie, qui sera la chef de file de la « résistance », fait face à sa première incompréhension : au moment où c’est son tour de répondre, elle oublie la consigne du « Monsieur Ross », et ce dernier réagit violemment en « frappant son bureau avec une règle », laissant la jeune fille inquiète de savoir ce qu’elle a bien pu faire de mal. Son petit ami, David, voit quant à lui l’utilisation de la discipline enseignée par Ross comme une possibilité d’améliorer les performances de son équipe de football. Quant à Christy Ross, elle fait la remarque suivante (toujours sur le ton de l’humour, pour le moment) : « Ben, je crois que tu viens de créer des monstres. C’est possible, répondit-il en riant » quand il lui raconte l’émulation provoquée durant ce cours particulier. Ces différentes attitudes font entrevoir les prises de position futures de chacun des protagonistes.
Le lendemain, la classe lui fait continuer l’expérience presque malgré lui, car il avait l’intention de reprendre normalement son cours. « Pris au jeu », il annonce une seconde devise « La Force par la Communauté ». Et afin de sceller ce nouveau groupe, il lui donne un nom, La Vague, un logo ainsi qu’un salut de reconnaissance.
Lista de comentários
Tout commence dans la classe d’Histoire du lycée. Ben Ross, le professeur, projette à ses élèves un documentaire sur les camps de concentration et d’extermination de la Seconde Guerre mondiale. Les réactions sont alors différentes : choc, questionnement ou indifférence de ceux qui dormaient au lieu de suivre le film… Certains parmi les plus attentifs, comme Laurie Saunders (rédactrice en chef du journal de l’établissement, le Gordon Grapevine), s’attardent après le cours afin de pouvoir poser des questions à leur professeur. « […] Pourquoi personne n’a essayé de les arrêter ? » « Comment pourrait-on massacrer dix millions de gens sans que personne s’en aperçoive ? » « Comment les Allemands ont-ils pu laisser les nazis assassiner des gens presque sous leurs yeux pour ensuite affirmer qu’ils n’en savaient rien ? Comment ont-ils pu faire une chose pareille ? Comment ont-ils même pu dire une chose pareille ? » « Ma seule réponse, c’est que les nazis étaient extrêmement bien organisés et redoutés de tous. L’attitude du reste de la population reste un mystère… Pourquoi n’avoir rien fait pour les arrêter ? Pourquoi affirmer ne pas être au courant ? Nous n’en savons rien. ». Tandis que tous les élèves présents s’indignent, et affirment avec véhémence que jamais ils n’auraient laissé de telles choses se dérouler, Ben se questionne fortement sur le fait qu’il ne puisse pas répondre à la plupart de leurs interrogations. À partir de cette constatation, il décide d’effectuer une petite expérience avec eux, afin de comprendre les agissements observés durant la période nazie. Pour Ben, cette expérience se veut bien plus didactique qu’une simple « explication académique », car « la réponse ne figure dans aucun livre. Peut-être que les élèves doivent la trouver par eux-mêmes. » La première heure du projet, Ben la prépare comme s’il « bachot[ait] pour passer [son] diplôme de dictateur » suivant les termes humoristiques (bien que malheureusement prémonitoire) de sa femme Christy (professeur de chant et de musique dans le même lycée).
Durant ce fameux cours, il annonce le premier slogan du mouvement qu’il fait naître : « La Force par la Discipline ». Il ordonne une posture droite, mettant en disposition pour être attentif et concentré, qu’il indique en prenant comme exemple le souffre-douleur de la classe, Robert Billings (pour le faire participer et lui redonner de l’estime de soi). Il instaure également trois règles : « Premièrement, tout le monde doit apporter ses propres affaires pour prendre des notes. Deuxièmement, lorsque vous poserez ou répondrez à une question, vous devez vous lever et vous placer à côté de votre table. Et troisièmement, vous commencerez vos questions ou réponses par " Monsieur Ross ". » S’ensuit une série de questions/réponses courtes et de plus en plus spontanées, qui stimule et motive les élèves. Cette première journée d’expérience se solde par quelques éléments intéressants pour la suite : Laurie, qui sera la chef de file de la « résistance », fait face à sa première incompréhension : au moment où c’est son tour de répondre, elle oublie la consigne du « Monsieur Ross », et ce dernier réagit violemment en « frappant son bureau avec une règle », laissant la jeune fille inquiète de savoir ce qu’elle a bien pu faire de mal. Son petit ami, David, voit quant à lui l’utilisation de la discipline enseignée par Ross comme une possibilité d’améliorer les performances de son équipe de football. Quant à Christy Ross, elle fait la remarque suivante (toujours sur le ton de l’humour, pour le moment) : « Ben, je crois que tu viens de créer des monstres. C’est possible, répondit-il en riant » quand il lui raconte l’émulation provoquée durant ce cours particulier. Ces différentes attitudes font entrevoir les prises de position futures de chacun des protagonistes.
Le lendemain, la classe lui fait continuer l’expérience presque malgré lui, car il avait l’intention de reprendre normalement son cours. « Pris au jeu », il annonce une seconde devise « La Force par la Communauté ». Et afin de sceller ce nouveau groupe, il lui donne un nom, La Vague, un logo ainsi qu’un salut de reconnaissance.