Est ce quelqu'un peut me corriger les orthographes et la syntaxe de ce texte svp? et svp reformulez les phrases s'il y'a des fautes merci d'avance. - Ils furent venu, ils furent tous la autour du lit; ces dernières instants qu'on entendit sa voix, qu'on regardait sa figure, son visage pale. Nous avions appelés mes cousins d'Italie pour venir dire au revoir a notre chère grand mere, meme le fils Géorgie était venu. Elle était maigre, son visage avait la forme osseux, et ses lèvres rouges devenu noires comme les cerises en hiver. Tous le mine était la, a cote d'elle. Les enfants jouaient avec la balle et mon oncle jouait de la guitar. Personne n'était triste, on ne voulait pas sentir que c'était le dernier matin avec notre grand mere. Cependant, le docteur nous eues dit qu'elle ne pouvait plus survivre sa maladie, on ne pouvait rien faire sauf envoyer nos prières. Ma mere servait du vin et du soda; et ma cousine dansait au rythme de la musique. Ma grand mere tout en souriant, applaudissait faiblement. Ensuite, elle commença a pleurer, on la réchauffa avec nos baisers, il gavait tant d'amour et de souvenirs autour d'elle. Cependant, on sortit les enfants de la chambre, les yeux de grands mere fermé chantèrent gomme on berçait un enfant après une bonne journée pour qu'il souriait en s'endormant. Elle nous eûmes quitte, elle agit quitte la famille mais non pas les souvenirs. Mon enfance avait été autour de ma grand mere, elle va encore y être. Le prêtre disait en pleurant " repos dans la partie" et tous les membres de la famille l'avait répété.
Ils étaient tous venus. Ils étaient tous là autour du lit. C'étaient les derniers instants où l'on pouvait entendre sa voix et qu'on regardait son visage pâle. Nous avions appelé mes cousins d'Italie pour venir dire au revoir à notre chère grand-mère.Mêmele fils de Géorgie était venu. Elle était amaigrie et son visage était osseux et ses lèvres rouges auparavant étaient alors noires comme les cerises en hiver. Nous étions tous là, à son chevet. Les enfants jouaient à la balle et mon oncle jouait de la guitare. Personne n'était triste, on ne voulait pas croire que c'était son dernier matin. Elle ne pouvait pas survivre à sa maladie, le docteur nous avait averti, seules nos prières pouvaient l'accompagner. Ma mère servait du soda et du vin et ma cousine dansait au rythme de la musique. En souriant ma grand-mère applaudissait faiblement. Puis elle se mit à pleurer, nous la réchauffions de nos baisers, tout n'était qu'amour mêlés de souvenirs. Puis on sortit les enfants de la chambre car les yeux de grand-mère s'étaient à jamais fermés. Doucement, comme une berceuse nous chantions une chanson pour qu'elle s'endorme en souriant comme le ferait un enfant, dans les bras de sa mère, après une bonne journée. Grand-mère est partie, a quitté la famille, mais son souvenir reste à jamais gravé dans nos coeurs en peine. Mon enfance c'était ma grand-mère et je veux la garder encore. Le prêtre dit en pleurant :"repos dans la patrie" et tous en chœur nous l'avons répété.
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Ils étaient tous venus. Ils étaient tous là autour du lit.C'étaient les derniers instants où l'on pouvait entendre sa voix et qu'on regardait son visage pâle.
Nous avions appelé mes cousins d'Italie pour venir dire au revoir à notre chère grand-mère.Mêmele fils de Géorgie était venu. Elle était amaigrie et son visage était osseux et ses lèvres rouges auparavant étaient alors noires comme les cerises en hiver. Nous étions tous là, à son chevet. Les enfants jouaient à la balle et mon oncle jouait de la guitare. Personne n'était triste, on ne voulait pas croire que c'était son dernier matin.
Elle ne pouvait pas survivre à sa maladie, le docteur nous avait averti, seules nos
prières pouvaient l'accompagner.
Ma mère servait du soda et du vin et ma cousine dansait au rythme de la musique.
En souriant ma grand-mère applaudissait faiblement. Puis elle se mit à pleurer, nous la réchauffions de nos baisers, tout n'était qu'amour mêlés de souvenirs.
Puis on sortit les enfants de la chambre car les yeux de grand-mère s'étaient à jamais fermés. Doucement, comme une berceuse nous chantions une chanson pour qu'elle s'endorme en souriant comme le ferait un enfant, dans les bras de sa mère, après une bonne journée.
Grand-mère est partie, a quitté la famille, mais son souvenir reste à jamais gravé dans nos coeurs en peine.
Mon enfance c'était ma grand-mère et je veux la garder encore.
Le prêtre dit en pleurant :"repos dans la patrie" et tous en chœur nous l'avons répété.