Evoquez en un paragraphe un objet qui vous effrayait dans votre enfance comme le faisaient les trams pour Albert Cohen. Je pense faire ma rédaction sur ma peur de l'orage et du noir étant petite mais je n'ai aucune idée comment le formuler sous forme de paragraphe. Il y a t'il quelqu'un pour m'aider a la construction de ma rédaction ?
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maths75015
Un véritable cauchemar. Lorsque je m’éveillai ce matin-là, le ciel était d’un bleu pur.Une belle journée très ensoleillée s’annonçait. « Pourquoi ne pas en profiter pour aller faire une promenade enmontagne ? » proposa maman. L’idée enchanta toute la famille. Une heure plus tard, nousétions sur la route du Puy-Mary. La matinée fut très agréable et chacun apprécia la pausepique-nique. Le temps était toujours radieux et chaud, seulsquelques nuages à l’aspect inoffensif apparaissaient à l’horizon.Nous continuâmes donc notre balade tranquillement. Mais, il mesembla tout à coup que notre chien Bilbao avait un comportementquelque peu étrange. Je regardai autour de moi pour comprendre cequi se passait. C’est alors que je remarquai que des éclairs zébraientle ciel à l’horizon. « Oh ! c’est inquiétant ! s’alarma papa, je n’aimepas ça ; il vaut mieux accélérer le pas. » A peine eut-il terminé saphrase que d’énormes gouttes se mirent à tomber. Le ciel se couvrittrès vite de nuages, devint très menaçant, le vent se leva et aussitôtdes trombes d’eau s’abattirent sur nous. Nous étions loin d’êtrerassurés : il est bien connu que les orages en montagne sontsouvent violents et provoquent des accidents. Et, pour nous effrayerdavantage, des coups de tonnerre terrifiants ne cessaient de retentirau-dessus de nos têtes ; la grêle se mêla à la pluie, le vent se mit àsouffler en tempête, les éclairs illuminaient continuellement le ciel. J’étais pétrifiée et mes parents ne l’étaient pas moins. Bilbaotremblait de tous ses membres. Nous étions vraiment en danger.C’était un vrai déluge ; Nous ne savions que faire. Il fallait de touteurgence trouver un abri. La situation nous sembla tout à coupdésespérée lorsque nous vîmes la foudre tomber sur un arbre nonloin de nous. Je me mis à pleurer, croyant que notre dernière heureétait arrivée. « Une cabane de berger ! » s’écria soudain mon frère. En effet, elle était là, tout près, mais la pluie qui tombait àseaux nous avait empêchés de la voir. Nous nous y blottirent, lesuns contre les autres, pour nous rassurer et nous réchauffer carnous étions mouillés jusqu’aux os. C’est ainsi que nous attendîmes la fin du cauchemar. Lescoups de tonnerre finirent par s’espacer, la pluie cessa et le soleilréapparut entre les nuages qui s’effilochaient maintenant. Nousétions tous sains et saufs mais en rentrant, nous savions que cetteterrible peur resterait ancrée dans notre mémoire.
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julieneufquatre
merci mais je pense qu'il faut une rédaction un peu plus réalistique
maths75015
Ah oui. Bah change des mots et mes les dans un autres languages (je sais pas si ca se dit)
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