Exercice 3: Rétablissez les accords dans ce texte. (Attention, avec le col placé avant le verbe il n'y a pas d'accord) Une femme remarquable 2 Je suis né il y a plusieurs années. J'ai vécu dans un pays où la guerre et la famine ont ravagé nos contrées réputé pour leurs paysages majestueux, tous détruit aujourd'hui. Toute jeune, je fus envoyé dans un orphelinat délabré mes parents ayant été fait prisonniers. J'y croupirais encore si une amie dévoué de ma mère n'était accouru à mon secours. Elle m'a pris sous son aile, m'a nourri, logé , soigné jusqu'à ce que je puisse être assez costaude pour l'accompagner dans tous ses déplacements. Un jour, elle m'a regardé droit dans les yeux et m'a demandé si j'étais fatigué de cette vie rempli d'infortune. En fait, j'étais dégoûté par toutes les horreurs que j'avais vu . Elle m'a alors proposé de fuir avec elle. De toute façon, je l'aurais suivi n'importe où; elle était devenu ma famille, mon univers. Toutes décidé que nous étions, nous avons pourtant repoussé le moment du départ tant nous étions attaché à nos racines. Mais finalement, nous avons fui. Ces souvenirs me sont revenu à l'esprit la semaine passé quand j'ai su que ma bienfaitrice était décédé. Tous les soins qu'elle m'a prodigué, toutes les attentions dont elle m'a entouré , tout l'amour qu'elle a pu me donner resteront à jamais gravé dans ma mémoire.
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Réponse:
Je suis née il y a plusieurs années.
J'ai vécu dans un pays où la guerre et la famine ont ravagé nos contrées réputées pour leurs paysages majestueux, tous détruits aujourd'hui.
Toute jeune, je fus envoyée dans un orphelinat délabré
mes parents ayant été faits prisonniers. J'y croupirais encore si une amie dévouée de ma mère n'était accourue à
mon secours.
Elle m'a prise sous son aile, m'a nourrie, logée, soignée jusqu'à ce que je puisse être assez costaude
pour l'accompagner dans tous ses déplacements.
Un jour, elle m'a regardé droit dans les yeux et m'a demandé
si j'étais fatiguée de cette vie remplie d'infortune. En fait, j'étais dégoûtée par toutes les horreurs que j'avais vues
Elle m'a alors proposée de fuir avec elle. De toute façon, je l'aurais suivie n'importe où; elle était devenue ma
famille, mon univers. Toutes décidées que nous étions, nous avons pourtant repoussé le moment du départ tant
nous étions attachées à nos racines. Mais finalement, nous avons fui. Ces souvenirs me sont revenus à l'esprit la
semaine passée quand j'ai su que ma bienfaitrice était décédée. Tous les soins qu'elle m'a prodigués, toutes les
attentions dont elle m'a entourés , tout l'amour qu'elle a pu me donner resteront à jamais gravés dans ma
mémoire.