Exercice de Français! je vous en supplie à genoux sur le sol aidez moiiii!!! je n'arrive pas du tout avec cette exercice de francais! svpp une réponse. íc'est lexercice 11
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bewartic
Je n'ai pas répondu au petit d, parce que je ne savais pas trop quoi répondre, mais voilà :
a : Lignes 1 à 10, il y a 5 phrases simples, et dans tout le texte, 10. b : "a entendu", verbe ; "elle", sujet ; "sa propre voix" COD, "voix" noyau du COD et "propre" épithète du noyau ; "cette fois", CCT ; c : Il s'agit d'une phrase exclamative. e : La construction des phrases donne une atmosphère de désespoir, de désarroi ( trouble, confusion ) et d'affliction ( peine vive, douleur profonde ), presque pathétique ( qui suscite de la pitié ). f : " qui lui frappe les reins " " qui la ralentit " " qu'elle voudrait jeter par terre " " dont la perte l'affolerait davantage encore. " Ce sont des subordonnées relatives, occupant la fonction de compléments du nom. Ces propositions soulignent la vision du sac par l'enfant, comme un objet lourd, fatiguant à porter, mais indispensable. g : " ce cartable si lourd " C'est une proposition placé au milieu d'autres propositions, donne l'impression que tous les malheurs du monde arrivent à l'enfant, et qu'elle est en situation de désespoir.
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emmaa7x
merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. mais pour la question à il me semblait qu'il n'y avait que 3 phrases simples. tu peux me les cités please??
bewartic
Ligne 1 à 5, les phrases sont toutes des phrases simples, et il y en a même une sixième, ligne 9/10, " Sensation confuse..."
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a : Lignes 1 à 10, il y a 5 phrases simples, et dans tout le texte, 10.
b : "a entendu", verbe ;
"elle", sujet ;
"sa propre voix" COD, "voix" noyau du COD et "propre" épithète du noyau ;
"cette fois", CCT ;
c : Il s'agit d'une phrase exclamative.
e : La construction des phrases donne une atmosphère de désespoir, de désarroi ( trouble, confusion ) et d'affliction ( peine vive, douleur profonde ), presque pathétique ( qui suscite de la pitié ).
f : " qui lui frappe les reins "
" qui la ralentit "
" qu'elle voudrait jeter par terre "
" dont la perte l'affolerait davantage encore. "
Ce sont des subordonnées relatives, occupant la fonction de compléments du nom. Ces propositions soulignent la vision du sac par l'enfant, comme un objet lourd, fatiguant à porter, mais indispensable.
g : " ce cartable si lourd "
C'est une proposition placé au milieu d'autres propositions, donne l'impression que tous les malheurs du monde arrivent à l'enfant, et qu'elle est en situation de désespoir.