Expression écrite : " A la manière de Rousseau dans "L'incident du peigne" vous raconterez un épisode de votre vie qui vous a fortement marqué et vous a poussé à écrire". Vous utiliserez l'ensemble des éléments étudiés en cours que vous repérez. (30 lignes) je voudrais parler de l'harcèlement mais j'arrive pas à écrire quelque chose ou j'ai essayé sa ma pas plus pourrais vous m'aider s'il vous plaît
Je marchais un jour seul dans la cour de récréation. J'étais atteint d'une profonde solitude qui me rongeait depuis peu. Les enfants passaient devant moi sans me voir, je m'en tenais donc à marcher sans but précis. Je me posais sur un banc, un livre à la main. J'entamais ma lecture quand j'entendis une bande d'enfants rire aux éclats. J'enlevais le livre de mon chant de vision pour constater quelle était la cause de leur moquerie . En comprenant qu'il s'agissait de moi je fus sidéré. Je retenais mes larmes avec peine. Un jeune garçon du groupe vint à ma rencontre. Je décidai qu'il serait plus sage de l'ignorer et c'est ce que je fis. Il me prit brusquement le livre des mains et en déchira les pages. Je restais là, sans aucune réaction, à le regarder faire. Un autre s'approcha et me gifla violemment en me disant que je n' étais qu'un être insignifiant et que personne ne voudrait de moi comme ami. Tour à tour, ils me rouaient de coups plus violent les uns que les autres. Ils prétendaient que je donnais une mauvaise image du genre masculin en passant mes récréation à lire. Ils voulaient absolument que je leur fasse la promesse de ne jamais plus lire dans la cour. Je ne fis jamais la promesse et, chaque jours, ils venaient me voir et me persécutaient afin d'obtenir de moi cette promesse. Je ne leur accorda point ce plaisir et continuais tous les jours ma routine malgré les coups.
Ce fut un évènement marquant pour moi et qui resta à jamais gravé dans ma mémoire.
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Je marchais un jour seul dans la cour de récréation. J'étais atteint d'une profonde solitude qui me rongeait depuis peu. Les enfants passaient devant moi sans me voir, je m'en tenais donc à marcher sans but précis. Je me posais sur un banc, un livre à la main. J'entamais ma lecture quand j'entendis une bande d'enfants rire aux éclats. J'enlevais le livre de mon chant de vision pour constater quelle était la cause de leur moquerie . En comprenant qu'il s'agissait de moi je fus sidéré. Je retenais mes larmes avec peine. Un jeune garçon du groupe vint à ma rencontre. Je décidai qu'il serait plus sage de l'ignorer et c'est ce que je fis. Il me prit brusquement le livre des mains et en déchira les pages. Je restais là, sans aucune réaction, à le regarder faire. Un autre s'approcha et me gifla violemment en me disant que je n' étais qu'un être insignifiant et que personne ne voudrait de moi comme ami. Tour à tour, ils me rouaient de coups plus violent les uns que les autres. Ils prétendaient que je donnais une mauvaise image du genre masculin en passant mes récréation à lire. Ils voulaient absolument que je leur fasse la promesse de ne jamais plus lire dans la cour. Je ne fis jamais la promesse et, chaque jours, ils venaient me voir et me persécutaient afin d'obtenir de moi cette promesse. Je ne leur accorda point ce plaisir et continuais tous les jours ma routine malgré les coups.
Ce fut un évènement marquant pour moi et qui resta à jamais gravé dans ma mémoire.
J'espère avoir pu t'aider, bonne soirée.