expression écrite sujet: vous êtes seul à la maison, il fait nuit, peu à peu,vous vous sentez envahir par la peur. Racontez en existant sur les sentiments que vous ressentez à ce moments là.
Je suis seul, dans cette immense maison. Je n'ai jamais remarqué qu'elle était si grande. Maintenant que la nuit est tombé je prend conscience de sa grandeur. Je vais dans la cuisine pour me prendre un verre d'eau et là j'entend un bruit étrange, un sifflement qui me fait froid dans le dos. J'essaye de relativiser je me dit que ce n'est que le bruit du vent qui frappe dans les volets. Mais mon corps est toujours pétrifié, je ne parviens pas à ma calmer. À l'étage, un son strident retentit. Je pousse un cri de terreur. J'ai le souffle court, la chair de poule commence à envahir mon corps. Je suis pris d'une angoisse pétrifiante. Mon corps tremble, mes pensées ne sont pas cohérentes. Je sais au fond de moi que ce n'est que le bruit du vent, que je ne cours aucun danger. Ma conscience ne coïncide pas avec mes peurs, avec mon corps qui réagit de façon violente. Des larmes commencent à couler sur mes joues, je me réfugie dans ma chambre, m'emmitouflant dans la couette en espérant pouvoir me calmer. Mais je ressens une peur extrême. Je ne bouge plus dans mon lit, recroquevillé, au bout de trois heures d'angoisse, je parviens à m'endormir.
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Je suis seul, dans cette immense maison. Je n'ai jamais remarqué qu'elle était si grande. Maintenant que la nuit est tombé je prend conscience de sa grandeur. Je vais dans la cuisine pour me prendre un verre d'eau et là j'entend un bruit étrange, un sifflement qui me fait froid dans le dos. J'essaye de relativiser je me dit que ce n'est que le bruit du vent qui frappe dans les volets. Mais mon corps est toujours pétrifié, je ne parviens pas à ma calmer. À l'étage, un son strident retentit. Je pousse un cri de terreur. J'ai le souffle court, la chair de poule commence à envahir mon corps. Je suis pris d'une angoisse pétrifiante. Mon corps tremble, mes pensées ne sont pas cohérentes. Je sais au fond de moi que ce n'est que le bruit du vent, que je ne cours aucun danger. Ma conscience ne coïncide pas avec mes peurs, avec mon corps qui réagit de façon violente. Des larmes commencent à couler sur mes joues, je me réfugie dans ma chambre, m'emmitouflant dans la couette en espérant pouvoir me calmer. Mais je ressens une peur extrême. Je ne bouge plus dans mon lit, recroquevillé, au bout de trois heures d'angoisse, je parviens à m'endormir.