Ainsi, vu le nombre de types de volcans et d’éruptions, on peut déduire qu’il existe un très grand nombre de risques se présentant sous différentes formes : sous la forme de projections (bombes, scories, etc.), de gaz toxiques, de coulées (de lave, de boue) mais surtout de nuées ardentes qui est le phénomène le plus dévastateur. Ainsi, malgré toutes les infrastructures et lieux de refuge mis en place, la meilleure prévention reste la prévision avec un réseau de divers capteurs (magnétiques, chimiques, tectoniques, sismiques et thermiques). Depuis plusieurs dizaines d’années la volcanologie s’enrichit des nombreuses informations collectées de par le monde et s’évertue à affiner sans cesse les modèles prédictifs qui pourraient permettre d’anticiper à coup sûr les éruptions pour sauver les populations si tant est que celles-ci ne continuent pas à s’installer trop près dans les zones à très haut risque.
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Ainsi, vu le nombre de types de volcans et d’éruptions, on peut déduire qu’il existe un très grand nombre de risques se présentant sous différentes formes : sous la forme de projections (bombes, scories, etc.), de gaz toxiques, de coulées (de lave, de boue) mais surtout de nuées ardentes qui est le phénomène le plus dévastateur. Ainsi, malgré toutes les infrastructures et lieux de refuge mis en place, la meilleure prévention reste la prévision avec un réseau de divers capteurs (magnétiques, chimiques, tectoniques, sismiques et thermiques). Depuis plusieurs dizaines d’années la volcanologie s’enrichit des nombreuses informations collectées de par le monde et s’évertue à affiner sans cesse les modèles prédictifs qui pourraient permettre d’anticiper à coup sûr les éruptions pour sauver les populations si tant est que celles-ci ne continuent pas à s’installer trop près dans les zones à très haut risque.