Hey pouvez vous m'aider j'ai des question sur le livre au bonheur des dames d'Emile Zola: (répondez à tout ce que vous pouvez si il manque des réponses je me débrouillerais)
Chapitre 3 :
1) Quelle sorte de cliente est madame Marty? En quoi un grand magasin comme le bonheur des dames encourage t'il son comportement ?
Chapitre 4 :
2) De quoi souffre Denise physiquement et moralement ? quelles qualités lui permettent de tenir ? A la fin du chapitre 4 par quelle sentiment Denise et Octave Mouret sont ils troublé ?
Chapitre 5,6,7:
3) quel sont les deux menaces auxquelles Bourras doit faire face ?
4) Expliquer la guerre commerciale entre Robineau et Mouret, qui gagne ? Pour quelles raisons ?
5) que se passe t'il au Tuileries
6) Que propose Mouret à Bourras par l'intermédiaire de Denise ? Quelle est la réaction du marchand de parapluies ?
tout les chapitres:
dans la bataille des grands magasins et des petits magasins dans quel camp se range Denise ? pourquoi ?
Merci beaucoup !!!
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hey pouvez vous m'aidez svp : Quel est le champ lexical le plus important que tu observes dans ce passage ? Recopie les mots du texte qui appartiennent à ce champ lexical. Comment qualifierais-tu le cadre de l'histoire dans ce passage ? As-tu repéré la phrase qui se répète ? Recopie-la ci-dessous. Quel effet crée cette répétition ? Plusieurs réponses possibles. -Cette répétition donne l'impression qu'on tourne en rond dans cette ville. -Elle met en valeur le caractère difficile du personnage. -Elle met en relief la situation tendue et l'atmosphère pesante qui règne. -Elle insiste sur un fait qui a l'air toujours vrai. voici le texte pour répondre aux questions Il n'y a rien de pire qu'un conflit qui s'éternise. La pluie avait remplacé la neige de la veille, et une eau boueuse rongeait peu à peu les îlots de poudreuse. Quelques voitures filaient droit devant, tous phares éteints, sur l'ancienne avenue de la Fraternité. Elles bondissaient sur le revêtement défoncé, plongeaient dans les mares noirâtres avant de disparaître derrière les murs ruinés du dépôt des autobus. De temps en temps, une silhouette s'aventurait sur le pont dont les lattes disjointes brinque-balaient au-dessus des remous de la Milva. Les gilets pare-balles donnaient des carrures de joueurs de football américain aux soldats interposés qui observaient la ville depuis leurs châteaux de sable. Au loin, un convoi blindé pénétrait sur le tarmac de l’aéroport pour venir hérisser ses canons autour d'un Hercule C 130 chargé de vivres qui, tout juste posé, s'apprêtait déjà à repartir. Il n'y a rien de pire qu'un conflit qui s'éternise. merci beaucoup :)
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