Bonjour, je suis en seconde et je dois rédiger l'introduction d'un commentaire composé sur le poéme "Mais si faut-il mourrir ! " de Jean de Sponde selon les axes suivants: I. La fuite du temps / II. Les pouvoirs de la poésie
Voici le poéme en question :
Mais si faut-il mourir, et la vie orgueilleuse, Qui brave de la mort, sentira ses fureurs, Les Soleils hâleront ces journalières fleurs, Et le temps crèvera cette ampoule venteuse. Ce beau flambeau qui lance une flamme fumeuse, Sur le vert de la cire éteindra ses ardeurs, L’huile de ce Tableau ternira ses couleurs, Et les flots se rompront à la rive écumeuse. J’ai vu ces clairs éclairs passer devant mes yeux, Et le tonnerre encor qui gronde dans les Cieux, Où d’une ou d’autre part éclatera l’orage, J’ai vu fondre la neige et ses torrents tarir, Ces lions rugissants je les ai vu sans rage, Vivez, hommes, vivez, mais si faut-il mourir.
Merci d'avance et désoler pour les potentielle fautes d'orthographe.
Jean de Sponde est un poète du XVI° siècle relié au mouvement baroque. Il propose un sonnet qui fait partie de son recueil Essai de quelques poèmes chrétiens, sonnet II paru en 1588. Il évoque le vie mais insiste sur la mort qui est au bout. On peut s'interroger sur le visée du poète : faut-il reconnaître que tout est vanité ou faut-il s'en remettre au carpe diem ?
On pourra montrer dans un premier temps que la vie est instable, que le temps nous échappe puis on verra que ce sonnet ressemble à une vanité et la poésie traduit l'instabilité et la fragilité de la vie humaine.
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Réponse :
Jean de Sponde est un poète du XVI° siècle relié au mouvement baroque. Il propose un sonnet qui fait partie de son recueil Essai de quelques poèmes chrétiens, sonnet II paru en 1588. Il évoque le vie mais insiste sur la mort qui est au bout. On peut s'interroger sur le visée du poète : faut-il reconnaître que tout est vanité ou faut-il s'en remettre au carpe diem ?
On pourra montrer dans un premier temps que la vie est instable, que le temps nous échappe puis on verra que ce sonnet ressemble à une vanité et la poésie traduit l'instabilité et la fragilité de la vie humaine.