II. Un art poétique de la modernité 3) En observant attentivement la toile de Picasso, comment son a.... Pergunta de ideia deJaoujaalassane

April 2020 1 97 Report

II. Un art poétique de la modernité
3) En observant attentivement la toile de Picasso, comment son art rompt-il avec celui
du « peintre de la réalité » ?
4) Montrez que ce poème est construit comme une fable.
5) Quelle conception du genre poétique Jacques Prévert défend-t-il dans ce texte ?
Sujet de réflexion : Selon vous, l’Art doit-il embellir la réalité ou la donner à voir telle
qu’elle est ?
svppp aidee moi merci en avance

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enyadiwakar21

haha je ne sais pas non plus, mais je vais faire des recherches maintenant, et je peux t'aider si tu veux.

3 votes Thanks 1

Salut vous pouvez m'aider a répondre à ces deux question svp 1) A partir du document 5, comparez l’évolution de la part des employés et des ouvriers entre 1982 et 2017. Pour vous aider à calculer précisément les parts des deux PCS en 1982, voici les chiffres exacts (en milliers): Employés: 5 770 Ouvriers: 6 921 Ensemble des emplois: 22 842 2) Comment peut-on expliquer l’évolution de la structure socioprofessionnelle mise en évidence dans le document ?

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jaoujaalassane December 2020 | 0 Respostas

salut a tous aidé moi svp Le poème de louis Aragon << ELSA AU MIROIR>> et l’oeuvre de Joan Miró <> sont identique car tous les deux parle d’un miroir et d’une femme . justifie votre réponse poème C'était au beau milieu de notre tragédie Et pendant un long jour assise à son miroir Elle peignait ses cheveux d'or Je croyais voir Ses patientes mains calmer un incendie C'était au beau milieu de notre tragédie Et pendant un long jour assise à son miroir Elle peignait ses cheveux d'or et j'aurais dit C'était au beau milieu de notre tragédie Qu'elle jouait un air de harpe sans y croire Pendant tout ce long jour assise à son miroir Elle peignait ses cheveux d'or et j'aurais dit Qu'elle martyrisait à plaisir sa mémoire Pendant tout ce long jour assise à son miroir À ranimer les fleurs sans fin de l'incendie Sans dire ce qu'une autre à sa place aurait dit Elle martyrisait à plaisir sa mémoire C'était au beau milieu de notre tragédie Le monde ressemblait à ce miroir maudit Le peigne partageait les feux de cette moire Et ces feux éclairaient des coins de ma mémoire C'était un beau milieu de notre tragédie Comme dans la semaine est assis le jeudi Et pendant un long jour assise à sa mémoire Elle voyait au loin mourir dans son miroir Un à un les acteurs de notre tragédie Et qui sont les meilleurs de ce monde maudit Et vous savez leurs noms sans que je les aie dits Et ce que signifient les flammes des longs soirs Et ses cheveux dorés quand elle vient s'asseoir Et peigner sans rien dire un reflet d'incendie

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