Imagine une suite du début du roman vendredi ou la vie sauvage de lorsque Robinson reprit connaissance, il était couché, la figure
sur le sable. Une vague déferla sur la grève mouillée et vint lui lécher les pieds. Il se laissa rouler sur le dos. Des mouettes noires et blanches tournoyaient dans le ciel redevenu bleu après la tempête. Robinson s’assit avec effort et ressentit une vive douleur à l’épaule gauche. La plage était jonchée de poissons morts, de coquillages brisés et d’algues noires rejetés par les flots. A l’ouest, une falaise rocheuse s’avançait dans la mer et se prolongeait par une chaîne de récifs. C’était là que se dressait la silhouette de La Virginie avec ses mâts arrachés et ses cordages flottant dans le vent.
Robinson se leva et fit quelques pas. Il n’était pas blessé, mais son épaule contusionnée continuait à lui faire mal. Comme le soleil commençait à brûler, il se fit une sorte de bonnet en roulant de grandes feuilles qui croissaient au bord du rivage. Puis il ramassa une branche pour s’en faire une canne et s’enfonça dans la forêt.
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calamare14
De là, il se sentit seul, triste et perdu. Son épaule lui faisait de plus en plus mal. Il s'assit sur la première roche venue et se mit à réfléchir. Comment faire pour retourner dans mon pays? Tout le monde devait le croire mort. Il se mit a marché afin d'exploré cette foret. Tout un coup, il entendit un cri, un bruit. Très vite, il se précipita à la recherche du bruit. Cela pourrait être une personne de son équipage se dit-il. Lorsqu'il arriva à l'endroit, il ne vit d'abord rien. Mais peu à peu, il vit un plumage brun. C'était un oiseau et il était blessé... C'est alors que commença la complicité en les deux...
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C'est alors que commença la complicité en les deux...