a. Indiquez les synérèses et les diérèses présentes dans ce poème.
b.Identifiez les « e» muets en justifiant vos choix.
La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe O nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe Sur le vide papier que la blancheur défend Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Je partirai ! Steamer balançant ta mâture, Lève l'ancre pour une exotique nature !
Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs ! Et, peut-être, les mâts, invitant les orages, Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles ilots... Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots !
Lista de comentários
MITCHELJ81
Pour les e muets il y’a tous ceux qui sont en fin de vers parce que les e en fin de vers se prononcent jamais mais il y’a aussi e de l’écume par ce qu’il est suivi d’une voyelle c’est à dire que si tu vois un e à la fin d’un mot et que le mot qui suit commence par une voyelle le e ne se prononce pas
Lista de comentários