Réponse:

j'espère que ça va aller car j'ai du mal à comprendre ce que tu voulais que je te fasse

Cher journal,

Aujourd'hui, j'ai relu mon sonnet "N'étant comme je suis, encore excité", et j'ai ressenti à nouveau toute l'intensité de l'émotion qui m'a poussé à l'écrire. Je me suis rappelé les moments où j'ai été frustré et en colère, où je me suis senti seul et incompris, et j'ai réalisé que ces émotions étaient toujours en moi, à fleur de peau.

C'est pour cela que j'ai écrit ce sonnet, pour exprimer mes sentiments et mes pensées les plus profondes, pour crier ma vérité au monde. J'ai voulu que ces mots soient comme un cri du cœur, comme un appel à la compréhension et à l'empathie.

Et pourtant, malgré tous mes efforts, je sais que ces mots resteront toujours des mots, et que la compréhension des autres sera toujours limitée. C'est une des grandes tragédies de l'existence, que nous ne puissions jamais être complètement compris par les autres, même ceux que nous aimons le plus.

Mais malgré tout cela, cher journal, je continue à écrire, à m'exprimer, à chercher cette vérité qui est en moi. Je sais que mes mots ne guériront pas toutes les blessures, ni ne mettront fin à toutes les injustices, mais ils sont une étincelle, une lumière dans l'obscurité, un espoir pour l'avenir.

Ainsi, je poursuis ma quête, je continue à écrire, à chercher cette vérité qui est en moi, en espérant qu'un jour, peut-être, mes mots pourront toucher les cœurs des autres, et allumer la flamme de la compréhension et de l'empathie.

Je te confie ces pensées, cher journal, en espérant que tu les garderas précieusement, comme un témoignage de ma vie et de mes rêves.

Bien à toi,

Joachim du Bellay