c. deux raisons : emploi de l‘adverbe « soudain » donc brusquement sans que le narrateur s’y attende « un petit coup sonna contre mon bardage ». Il peut penser que quelqu’un veut monter sur sa barque, et cela lui fait peur.
« un brouillard blanc très épais qui rampait sur l’eau fort bas » : ce brouillard laisse divaguer son imagination
« une sueur froide me glaça les pieds » : lorsqu’on a peur on ressent cette sensation.
halakarramohamad
bonjour ! Notre prof a dit que on a encore les question 6 et 7 et 8.et mois je ne savais pas et de puis quelque minutes j'ai mis les question 6 et 7 et 8 est-ce vous pouvez m'aider svp. car je ne sais pas quoi faire je suis nul avec les texte
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Réponse :
bonjour
Explications :
voici quelques éléments pour t'aider dans ton devoir
4) – la peur (« soubresaut » « sueur froide » « agitation nerveuse » (1er paragraphe)
-l'angoisse, emprisonné par le brouillar(2ème et 3ème paragraphe)
- il essaie de se raisonner (4ème paragraphe)
- la terreur (deux dernières lignes)
5) le narrateur éprouve de la peur
b. Justification : « sueur froide », « frissonner d'épouvante », « râlant de peur », « peur », « poltron » « terreur »
c. deux raisons : emploi de l‘adverbe « soudain » donc brusquement sans que le narrateur s’y attende « un petit coup sonna contre mon bardage ». Il peut penser que quelqu’un veut monter sur sa barque, et cela lui fait peur.
« un brouillard blanc très épais qui rampait sur l’eau fort bas » : ce brouillard laisse divaguer son imagination
« une sueur froide me glaça les pieds » : lorsqu’on a peur on ressent cette sensation.