J'ai une lettre a écrire en Français, c'est sur INCONNU A CETTE ADRESSE DE KRESSMANN TAYLOR. Le sujet est : "Ecrivez la lettre par Martin écrit a Max pour lui dire qu'il ne peut pas aider Griselle." arguments expressifs. Merci d'avance.
Lista de comentários
caro67000
Max, Das deutsche Volk vor allem! Que ne comprends-tu pas que je suis un citoyen de l’Allemagne Nouvelle en train de se construire ? Crois-tu qu’ici, nous avons le temps de nous préoccuper du sort des étrangers ? Tu en fais partie, mon pauvre Max, ainsi que cette prétendue Griselle d’ailleurs. Je t’avais dit que nous n’étions plus en sympathie et je pensais que tu avais compris mon message qui était on ne peut plus clair. Tu avais bien affirmé ne plus m’écrire dorénavant et voici que tu me demandes une fois de plus de rechercher ce qu’est devenue Griselle. Mais Max, je ne me souviens pas d’avoir jamais connu une « Griselle » et si ce devait être le cas, il s’agit d’un passé tellement lointain que le patriote que je suis ignore. Je te le répète, et pour la dernière fois : cesse de m’interpeller au sujet d’un individu qui m’est inconnu. Et si tu ne veux pas causer de tort à cette personne qui te semble chère, arrête de m’écrire tout simplement !
L’Allemagne est l’élue d’un ordre nouveau et ceci semble hors du champs de ta compréhension. Il faut que tu t’informes, mon pauvre Max. Je ne te serai pour ma part d’aucun secours car j’ai bien d’autres occupations ici que l’éducation des étrangers. Je te dis adieu,
Martin
3 votes Thanks 5
caro67000
Je te poste la lettre entière via messagerie
Lista de comentários
Das deutsche Volk vor allem!
Que ne comprends-tu pas que je suis un citoyen de l’Allemagne Nouvelle en train de se construire ? Crois-tu qu’ici, nous avons le temps de nous préoccuper du sort des étrangers ? Tu en fais partie, mon pauvre Max, ainsi que cette prétendue Griselle d’ailleurs.
Je t’avais dit que nous n’étions plus en sympathie et je pensais que tu avais compris mon message qui était on ne peut plus clair. Tu avais bien affirmé ne plus m’écrire dorénavant et voici que tu me demandes une fois de plus de rechercher ce qu’est devenue Griselle. Mais Max, je ne me souviens pas d’avoir jamais connu une « Griselle » et si ce devait être le cas, il s’agit d’un passé tellement lointain que le patriote que je suis ignore. Je te le répète, et pour la dernière fois : cesse de m’interpeller au sujet d’un individu qui m’est inconnu. Et si tu ne veux pas causer de tort à cette personne qui te semble chère, arrête de m’écrire tout simplement !
L’Allemagne est l’élue d’un ordre nouveau et ceci semble hors du champs de ta compréhension. Il faut que tu t’informes, mon pauvre Max. Je ne te serai pour ma part d’aucun secours car j’ai bien d’autres occupations ici que l’éducation des étrangers.
Je te dis adieu,
Martin