j'ai une redaction a faire pour la rentree j'ai écrit toute l'histoire mais je ne trouve pas de chute cool et auquel on ne s'y attend pas vous pouvez m'aider ????? merci d'avance
J en profite pour corriger tes fautes, mais il faudrait revoir tes temps...
J’ignore combien de temps je restais allongé dans cette flaque de boue, mais à mon réveil, quelque chose avait changé.
En effet, j’étais toujours allongé dans cette flaque de boue à quelques mètres de la grange et je levais les yeux pour apercevoir l’orage, mais le ciel était gris comme de la cendre, et l’orage et la foudre avaient disparu aussi vite qu’ils étaient venus. Une fois debout je pus observer le paysage apocalyptique : les arbres étaient déracinés et la terre retournée, on aurait dit qu’une tornade était passée par là. Étrangement, le lieu était très calme, pas un cri d’oiseaux, pas un sifflement dû au vent, même pas le bruit familier des moteurs de la ville, pas âme qui vive, rien. C’était comme si j’avais atterri dans un autre monde.
Je regagnai alors mon domicile dans l’espoir d’obtenir des réponses. En traversant la ville j’eus un sentiment étrange, je me sentais mal à l’aise dans ce lieu sans vie, car la ville était déserte. Arrivée devant le perron de ma maison, en entrant je constatai que la lampe servant à éclairer l’entrée clignotait tel un film d’horreur. N’y prêtant pas attention je me rendis dans le salon où je ne trouvai personne, de même que dans toutes les pièces de ce lieu. Ma famille avais disparu…
Je sortis de cette maison vide espérant trouver une quelconque âme vivante, mais en traversant la ville, lorsque je voulus regarder l’intérieur d’un magasin à travers la vitrine, j’aperçus mon reflet j’avais conscience que mes vêtement étaient dans un état déplorable ce ne fût pas une surprise de me voir les cheveux en bataille et les vêtements déchirés, mais ce qui me choqua fût mes yeux à l’origine noisettes ils étaient désormais bleu azur !
C’était l’orage, tous ses événements, l’orage en était la cause. J’étais désespéré. Que va-t-il se passer maintenant ? Vais-je devoir vivre seul, ou plutôt survivre seul ?
La nuit commençait déjà à tomber, j’allais me rendre chez moi quand une goutte tomba du ciel et s’écrasa sur mon visage triste de solitude. Je levai la tête et vis l’orage, le même orage que la dernière fois sauf que cette fois-ci, je compris à mon grand désespoir que je ne survivrais peut-être pas de nouveau à la foudre. Je me mis à courir avec les dernières forces qui me restaient pour me mettre à l’abri chez moi. J’entendais derrière mon dos le carnage, le bruit sourd de l’orage, les objets qui se brisaient sous la foudre, le vent qui hurlait. J’étais bientôt arrivé, enfin. Soudain le temps sembla s’arrêter, pendant un instant je crus mourir lorsque l’éclair me frappa, je ressentis une douleur atroce dans tous mon corps. Le temps reprit son cour et je m’écroulais au sol.
A mon réveil, j’étais allongé dans la même flaque de boue que la dernière fois où l’orage m’avait frappé, mais quelque chose avait changé, tout était comme différent. C’est lorsque je me redressais que je compris pourquoi les arbres se tenaient fièrement debouts, le sol lisse et recouvert d’une herbe verte et j’entendais des cris d’oiseaux, le vent qui sifflait doucement dans les arbres et aussi les voitures de la ville qui ronronnaient doucement.
Tout à coup, un tintement puissant m arracha mes tympans, je sursautais, je transpirais, et je tremblotais. Je ne pouvais comprendre ce qui m arrivait, puis, quelques secondes après, secondes qui me parurent des heures, une voix douce me rassura, une voix connue et aimante, c était ma mère qui venait me réveiller pour me rendre au collège. En fait, tout ceci n était qu un rêve étrange, rêver que l on se réveille...
Treize ans c’est un âge maudit mais aussi le moment où l’on se rend compte que la vie ne tient qu’à un fil.
Lista de comentários
Verified answer
Bonjour,J en profite pour corriger tes fautes, mais il faudrait revoir tes temps...
J’ignore combien de temps je restais allongé dans cette flaque de boue, mais à mon réveil, quelque chose avait changé.
En effet, j’étais toujours allongé dans cette flaque de boue à quelques mètres de la grange et je levais les yeux pour apercevoir l’orage, mais le ciel était gris comme de la cendre, et l’orage et la foudre avaient disparu aussi vite qu’ils étaient venus. Une fois debout je pus observer le paysage apocalyptique : les arbres étaient déracinés et la terre retournée, on aurait dit qu’une tornade était passée par là. Étrangement, le lieu était très calme, pas un cri d’oiseaux, pas un sifflement dû au vent, même pas le bruit familier des moteurs de la ville, pas âme qui vive, rien. C’était comme si j’avais atterri dans un autre monde.
Je regagnai alors mon domicile dans l’espoir d’obtenir des réponses. En traversant la ville j’eus un sentiment étrange, je me sentais mal à l’aise dans ce lieu sans vie, car la ville était déserte. Arrivée devant le perron de ma maison, en entrant je constatai que la lampe servant à éclairer l’entrée clignotait tel un film d’horreur. N’y prêtant pas attention je me rendis dans le salon où je ne trouvai personne, de même que dans toutes les pièces de ce lieu. Ma famille avais disparu…
Je sortis de cette maison vide espérant trouver une quelconque âme vivante, mais en traversant la ville, lorsque je voulus regarder l’intérieur d’un magasin à travers la vitrine, j’aperçus mon reflet j’avais conscience que mes vêtement étaient dans un état déplorable ce ne fût pas une surprise de me voir les cheveux en bataille et les vêtements déchirés, mais ce qui me choqua fût mes yeux à l’origine noisettes ils étaient désormais bleu azur !
C’était l’orage, tous ses événements, l’orage en était la cause. J’étais désespéré. Que va-t-il se passer maintenant ? Vais-je devoir vivre seul, ou plutôt survivre seul ?
La nuit commençait déjà à tomber, j’allais me rendre chez moi quand une goutte tomba du ciel et s’écrasa sur mon visage triste de solitude. Je levai la tête et vis l’orage, le même orage que la dernière fois sauf que cette fois-ci, je compris à mon grand désespoir que je ne survivrais peut-être pas de nouveau à la foudre. Je me mis à courir avec les dernières forces qui me restaient pour me mettre à l’abri chez moi. J’entendais derrière mon dos le carnage, le bruit sourd de l’orage, les objets qui se brisaient sous la foudre, le vent qui hurlait. J’étais bientôt arrivé, enfin. Soudain le temps sembla s’arrêter, pendant un instant je crus mourir lorsque l’éclair me frappa, je ressentis une douleur atroce dans tous mon corps. Le temps reprit son cour et je m’écroulais au sol.
A mon réveil, j’étais allongé dans la même flaque de boue que la dernière fois où l’orage m’avait frappé, mais quelque chose avait changé, tout était comme différent. C’est lorsque je me redressais que je compris pourquoi les arbres se tenaient fièrement debouts, le sol lisse et recouvert d’une herbe verte et j’entendais des cris d’oiseaux, le vent qui sifflait doucement dans les arbres et aussi les voitures de la ville qui ronronnaient doucement.
Tout à coup, un tintement puissant m arracha mes tympans, je sursautais, je transpirais, et je tremblotais. Je ne pouvais comprendre ce qui m arrivait, puis, quelques secondes après, secondes qui me parurent des heures, une voix douce me rassura, une voix connue et aimante, c était ma mère qui venait me réveiller pour me rendre au collège. En fait, tout ceci n était qu un rêve étrange, rêver que l on se réveille...
Treize ans c’est un âge maudit mais aussi le moment où l’on se rend compte que la vie ne tient qu’à un fil.