Cette caricature de Hans Erich Kohler datant de 1957 tourne en dérision le poids politique de l'Europe dans les rapports de force mondiaux de cette époque.
Le personnage de gauche représente les États-Unis, celui de droite représente l'URSS. Au milieu, l'Europe est représentée comme vieille, fragile, et est étouffée par les dimensions bien supérieures des deux superpuissances qui l'entourent.
Le dessin est ironique, car, malgré ce déséquilibre de puissance, l'Europe n'hésite pas à mettre en garde les deux géants et à prétendre pouvoir devenir "la troisième puissance".
Ce que le dessin veut nous faire comprendre, c'est que le monde est désormais bipolaire, avec deux superpuissances, et que l'Europe, qui se rêve comme une troisième superpuissance, n'est qu'un nain politique et n'a pas les moyens de ses ambitions.
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Cette caricature de Hans Erich Kohler datant de 1957 tourne en dérision le poids politique de l'Europe dans les rapports de force mondiaux de cette époque.
Le personnage de gauche représente les États-Unis, celui de droite représente l'URSS. Au milieu, l'Europe est représentée comme vieille, fragile, et est étouffée par les dimensions bien supérieures des deux superpuissances qui l'entourent.
Le dessin est ironique, car, malgré ce déséquilibre de puissance, l'Europe n'hésite pas à mettre en garde les deux géants et à prétendre pouvoir devenir "la troisième puissance".
Ce que le dessin veut nous faire comprendre, c'est que le monde est désormais bipolaire, avec deux superpuissances, et que l'Europe, qui se rêve comme une troisième superpuissance, n'est qu'un nain politique et n'a pas les moyens de ses ambitions.