Je dois ré-écrire ce passe du texte "Eldorado" de Laurent Gaudé au passé, cependant j'avoue ne pas être très doué en français.
Je vous écris le passage.
"Je suis avec mon frère Jamal. Je ne dis rien. Je claque la portière de la voiture. Il fait tourner la clef. Le moteur gronde.
Ce soir, les hirondelles volent haut dans le ciel. Les boulevards grondent du vacarme des klaxons. La poussière soulevée par les embouteillages est encore chaude du soleil de la journée. Mon frère Jamal ne dit pas un mot. Nous roulons. Je sais que nous partirons cette nuit. Je l’ai compris à son regard. S’il m’a demandé de venir avec lui, c’est qu’il veut que nous soyons ensemble pour dire adieu à notre ville. Je ne dis rien. La tristesse et la joie se partagent en mon âme. Les rues défilent sous mes yeux. J’ai doucement mal de ce pays que je vais quitter."
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jodupont
Je fus Je ne dis Je claquai Il fit Gronda Volèrent Grondèrent Dit Roulades Sus Eus compris Eut demandé Voulut Dis Partagèrent Défilèrent Eus Allai
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jesuispasdoue
La prof demande de ré-écrire au passé sans exactement préciser quel temps, j'imagine que ça doit être à l'imparfait, ou au passé simple?
floflo62400
"Je fus avec mon frère Jamal. Je ne dis rien. Je claquai la portière de la voiture. Il fit tourner la clef. Le moteur gronde.
Ce soir, les hirondelles volèrent haut dans le ciel. Les boulevards grondèrent du vacarme des klaxons. La poussière soulevée par les embouteillages fut encore chaude du soleil de la journée. Mon frère Jamal ne dit pas un mot. Nous roulâmes. Je sus que nous partîmes cette nuit. Je l’eus compris à son regard. S’il m’eut demandé de venir avec lui, c’est qu’il voulut que nous soyons ensemble pour dire adieu à notre ville. Je ne dis rien. La tristesse et la joie se partagèrent en mon âme. Les rues défilèrent sous mes yeux. J’eus doucement mal de ce pays que j'allai quitter."
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jesuispasdoue
Wouaw t'as du courage d'avoir ré-écris entièrement le texte, merci énormément.
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Ce soir, les hirondelles volèrent haut dans le ciel. Les boulevards grondèrent du vacarme des klaxons. La poussière soulevée par les embouteillages fut encore chaude du soleil de la journée. Mon frère Jamal ne dit pas un mot. Nous roulâmes. Je sus que nous partîmes cette nuit. Je l’eus compris à son regard. S’il m’eut demandé de venir avec lui, c’est qu’il voulut que nous soyons ensemble pour dire adieu à notre ville. Je ne dis rien. La tristesse et la joie se partagèrent en mon âme. Les rues défilèrent sous mes yeux. J’eus doucement mal de ce pays que j'allai quitter."