1. Le poète croise une beauté dans la rue, ils ne se parlent pas mais lui imagine qu'elle aurait pu l'aimer.
2. le poète est dans la rue. Baudelaire était un piéton de Paris.
" La rue assourdissante autour de moi hurlait. "
3. Il y a un bruit assourdissant. La rue "hurlait". e n'est pas l'endroit idéal pour aborder quelqu'un et engager la conversation.
4.la description est valorisante. Le poète insiste sur son allure mais aussi son c^poté inaccessible.
5. La femme est "Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse ", sa main est "fastueuse".
"Agile et noble, avec sa jambe de statue. "
6. Le poète insiste sur son allure mais aussi son côté inaccessible.Elle semble distante avec sa beauté de statue.
7. Le poète est fasciné par cette apparition. Il est crispé et attiré par le regard.
"Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. "
8. C'est une sorte de fascination.
9. Baudelaire éprouve aussi du regret. Il la tutoie à la fin du sonnet. Il regrette que la rencontre n'ait pas lieu, que cette femme qu'il aurait pu aimer ne l'ait pas fait "renaître". Il regrette de ne savoir rien sur elle. Il regrette un amour possible qui n'aura jamais lieu.
Lista de comentários
Réponse :
1. Le poète croise une beauté dans la rue, ils ne se parlent pas mais lui imagine qu'elle aurait pu l'aimer.
2. le poète est dans la rue. Baudelaire était un piéton de Paris.
" La rue assourdissante autour de moi hurlait. "
3. Il y a un bruit assourdissant. La rue "hurlait". e n'est pas l'endroit idéal pour aborder quelqu'un et engager la conversation.
4.la description est valorisante. Le poète insiste sur son allure mais aussi son c^poté inaccessible.
5. La femme est "Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse ", sa main est "fastueuse".
"Agile et noble, avec sa jambe de statue. "
6. Le poète insiste sur son allure mais aussi son côté inaccessible.Elle semble distante avec sa beauté de statue.
7. Le poète est fasciné par cette apparition. Il est crispé et attiré par le regard.
"Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. "
8. C'est une sorte de fascination.
9. Baudelaire éprouve aussi du regret. Il la tutoie à la fin du sonnet. Il regrette que la rencontre n'ait pas lieu, que cette femme qu'il aurait pu aimer ne l'ait pas fait "renaître". Il regrette de ne savoir rien sur elle. Il regrette un amour possible qui n'aura jamais lieu.
Explications :