Les moyens de lutte contre les maladies plus précisément ebola. Tache complexe: les antibiotiques c'est pas automatique! I apprendre a s'informer dans un texte et un graphique!Relier des informations dans un but explicatif! qui peut m'expliquer ce que veut dire ce texte j'ai control demain et je dois m'appuyer sur sa! je comprend rien --' svp!
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najlou
Moyens de lutteDiagnosticLe diagnostic est très difficile à établir car les symptômes observés ne suffisent pas pour identifier précisément la présence d'Ebola, car ils ne sont pas spécifiques à celui-ci. En effet, lorsque les médecins analysent un patient, ils peuvent observent la présence de nombreux virus comme le paludisme, le choléra, la peste, la fièvre récurrente, la méningite, l’hépatite et bien d’autres fièvres hémorragiques virales. Ainsi, on ne peut diagnostiquer avec certitude les infections à virus Ébola au laboratoire qu’à l’aide d’un certain nombre de tests très complexes à réaliser, qui s’accompagnent d’un risque biologique extrême et ne doivent être pratiqués que dans des conditions de confinement les plus rigoureuses possible. TraitementL'humain n'a toujours pas réussi à trouver le moindre traitement ou vaccin spécifique contre l'Ebolavirus et pour l'instant, seul des médicaments pouvant atténuer les effets des symptômes existent. Les cas graves doivent être placés en unité de soins intensifs car les malades sont souvent déshydratés et doivent être mis sous perfusion ou réhydratés par voie orale avec des solutions d’électrolytes (améliorent la circulation des ions et du liquide physiologique qu'ils composent au sein des cellules). De plus, le peu de traitement établi a pour but de maintenir la fonction rénale, l'équilibre électrolytique et de combattre l'hémorragie. Pour les patients qui survivent, la convalescence est accompagnée d'une asthénie intense et d'arthralgies (douleurs articulaires) souvent migrantes et touchant les grosses articulations en particulier. Toutefois, l'avenir est plutôt prometteur et les chercheurs travaillent déjà durement pour trouver un remède à cette fièvre hémorragique. En effet, un traitement expérimental fabriqué par le laboratoire Kentucky BioProcessing à Owensboro dans le Kentucky, a permis de protéger des singes contre le virus. Les résultats de leurs recherches ont déjà permis de protéger 100 % des primates traités une heure après avoir été exposés au virus Ebola, et Les deux-tiers de ces animaux traités 48 heures après avoir été infectés avaient également été protégés. Cette dernière étude a montré que 43 % des primates ont guéri de l'Ebola après avoir reçu ce traitement par voie intraveineuse entre 100 et 120 heures après le début de l'infection, soit après l'apparition des symptômes de la maladie. En continuant ainsi, un premier traitement pour l'humain pourra être établi, après quelques années de recherches et de test. PréventionIl n’existe pas de vaccin vétérinaire contre ce virus. Le nettoyage et la désinfection systématiques des élevages de porcs et de singes (avec de l’hypochlorite de sodium ou d’autres détergents) devraient être efficaces pour inactiver le virus. En cas de suspicion de flambée, les locaux doivent être immédiatement mis en quarantaine. L’abattage des animaux infectés, en supervisant attentivement l’enterrement ou l’incinération des carcasses, peut s’avérer nécessaire pour réduire le risque de transmission de l’animal à l’homme. La restriction ou l’interdiction du déplacement des animaux d’un élevage infecté vers d’autres zones peut réduire la propagation de la maladie. La mise en place d’un système de surveillance active de la santé animale pour détecter les nouveaux cas est essentielle pour l’alerte précoce des autorités de la santé publique et de la santé vétérinaire. En l’absence de traitement efficace et de vaccin pour l’homme, la sensibilisation aux facteurs de risque et la connaissance des mesures de protection à prendre à titre individuel sont le seul moyen de réduire l’infection et la mortalité chez l’être humain. C'est tout ^ ^
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TraitementL'humain n'a toujours pas réussi à trouver le moindre traitement ou vaccin spécifique contre l'Ebolavirus et pour l'instant, seul des médicaments pouvant atténuer les effets des symptômes existent. Les cas graves doivent être placés en unité de soins intensifs car les malades sont souvent déshydratés et doivent être mis sous perfusion ou réhydratés par voie orale avec des solutions d’électrolytes (améliorent la circulation des ions et du liquide physiologique qu'ils composent au sein des cellules). De plus, le peu de traitement établi a pour but de maintenir la fonction rénale, l'équilibre électrolytique et de combattre l'hémorragie. Pour les patients qui survivent, la convalescence est accompagnée d'une asthénie intense et d'arthralgies (douleurs articulaires) souvent migrantes et touchant les grosses articulations en particulier.
Toutefois, l'avenir est plutôt prometteur et les chercheurs travaillent déjà durement pour trouver un remède à cette fièvre hémorragique. En effet, un traitement expérimental fabriqué par le laboratoire Kentucky BioProcessing à Owensboro dans le Kentucky, a permis de protéger des singes contre le virus. Les résultats de leurs recherches ont déjà permis de protéger 100 % des primates traités une heure après avoir été exposés au virus Ebola, et Les deux-tiers de ces animaux traités 48 heures après avoir été infectés avaient également été protégés. Cette dernière étude a montré que 43 % des primates ont guéri de l'Ebola après avoir reçu ce traitement par voie intraveineuse entre 100 et 120 heures après le début de l'infection, soit après l'apparition des symptômes de la maladie.
En continuant ainsi, un premier traitement pour l'humain pourra être établi, après quelques années de recherches et de test.
PréventionIl n’existe pas de vaccin vétérinaire contre ce virus. Le nettoyage et la désinfection systématiques des élevages de porcs et de singes (avec de l’hypochlorite de sodium ou d’autres détergents) devraient être efficaces pour inactiver le virus. En cas de suspicion de flambée, les locaux doivent être immédiatement mis en quarantaine.
L’abattage des animaux infectés, en supervisant attentivement l’enterrement ou l’incinération des carcasses, peut s’avérer nécessaire pour réduire le risque de transmission de l’animal à l’homme. La restriction ou l’interdiction du déplacement des animaux d’un élevage infecté vers d’autres zones peut réduire la propagation de la maladie. La mise en place d’un système de surveillance active de la santé animale pour détecter les nouveaux cas est essentielle pour l’alerte précoce des autorités de la santé publique et de la santé vétérinaire. En l’absence de traitement efficace et de vaccin pour l’homme, la sensibilisation aux facteurs de risque et la connaissance des mesures de protection à prendre à titre individuel sont le seul moyen de réduire l’infection et la mortalité chez l’être humain.
C'est tout ^ ^