Bonjour, pouvez vous m'aidez a répondre à ces question sur Un million de Guy de MAUPASSANT. Merci d'avance!!! P.S: si vous avez besoin voila le lien pour lire la nouvelle elle es très,courte:https://www.superprof.fr/ressources/langues/francais/autres-niveaux-fr1/tout-niveau-fr1/litterature-francaise-classique-ouvrage.html Questions 1. À quelle classe sociale le couple Bonnin appartient-il ? Justifiez à l’aide d’éléments du texte.
2. a. Qu’est-ce que « l’honnêteté » ? Donnez une définition.
b. M. Bonnin « avait avant tout la prétention d’être un honnête homme » (l. 8-9 environ). Dressez le portrait du personnage et dites si vous partagez cette opinion de M. Bonnin sur lui-même.
3. De « Les jeunes gens non plus n’avaient pas d’enfants … à … tant mieux » (troisième paragraphe) : comment qualifiez-vous de la vie des Bonnin ?
4. a. De qui Mme Bonnin est-elle l’héritière ? b. Le testament est-il conforme aux espérances du couple ? Justifiez.
5. De « Elle mourut » à « Il y a des gens qui sont très gênants dans la vie, ils gâtent tout » : comment les relations entre les membres du couple évoluent-elles et pourquoi agissent-ils ainsi ? Justifiez.
6. « Ce n’est pas toi qui saurais en faire autant » ; « Dans la vie il faut savoir s’arranger pour n’être pas dupé par les circonstances » (l. 155 et l. 159-160 environ): que suggère ici M. Bonnin ? Quelle remarque pouvez-vous faire sur sa « prétention d’être un honnête homme » ? Où se trouve son véritable intérêt ?
7. a. Qu’est-ce que l’ironie ? b. Le prénom de l’enfant « Dieudonné » vous semble-t-il ironique ? Justifiez.
8. « Et il faut entendre Mme Bonnin parler des femmes qui ont failli par amour, de celles qu’un grand élan du cœur a jetées dans l’adultère » : selon vous, quel est le contenu des propos de Mme Bonnin ?
9. a. Qu’est-ce qu’une satire ? b. Quelle satire de la société bourgeoise du XIXe siècle Maupassant propose-t-il dans cette nouvelle ? Justifiez.
10. En ce qui concerne le rapport des personnages à l’argent, de quelles autres nouvelles du recueil pouvez-vous rapprocher cette nouvelle ? À quelles autres nouvelles pouvez-vous l’opposer ? Justifiez.
1. À quelle classe sociale le couple Bonnin appartient-il ? Justifiez à l’aide d’éléments du texte.
"C'était un modeste ménage d'employés". Le couple Bonnin appartiennent à la classe modeste.
2. a. Qu’est-ce que « l’honnêteté » ? Donnez une définition.
L'honnêteté est la qualité de ce qui respecte la vertu, la morale ou une norme reconnue.
b. M. Bonnin « avait avant tout la prétention d’être un honnête homme » (l. 8-9 environ). Dressez le portrait du personnage et dites si vous partagez cette opinion de M. Bonnin sur lui-même.
"Il était, en effet, un honnête homme dans le sens le plus terre à terre du mot. Il venait à l'heure, partait à l'heure, ne flânait guère, et se montrait toujours fort droit sur la "question d'argent"." Il est plus décrit comme un bon citoyen, qui respecte les règles de la vie en société.
3. De « Les jeunes gens non plus n’avaient pas d’enfants … à … tant mieux » (troisième paragraphe) : comment qualifiez-vous de la vie des Bonnin ?
"Les jeunes gens non plus n'avaient pas d'enfants, mais ils n'y tenaient guère, vivant tranquilles dans leur étroite et placide honnêteté. Leur appartement était propre, rangé, dormant, car ils étaient calmes et modérés en tout ; et ils pensaient qu'un enfant troublerait leur vie, leur intérieur, leur repos. Ils ne se seraient pas efforcés de rester sans descendance ; mais puisque le ciel ne leur en avait point envoyé, tant mieux." Les Bonnin ont une vie tranquille et sans agitation, sans enfant, qu'ils appréciaient. Sans l'appât du million qui crée l'urgence d'avoir un enfant, qui pourrait troubler leur tranquillité, ils seraient bien rester comme ils étaient.
4. a. De qui Mme Bonnin est-elle l’héritière ?
Mme Bonnin est l'héritière de sa tante, la sœur de son père.
b. Le testament est-il conforme aux espérances du couple ? Justifiez.
Non, la tante lègue le million au premier-né du couple, au lieu de le léguer à sa nièce.
5. De « Elle mourut » à « Il y a des gens qui sont très gênants dans la vie, ils gâtent tout » : comment les relations entre les membres du couple évoluent-elles et pourquoi agissent-ils ainsi ? Justifiez.
La tante a légué le million au premier né du couple, et si dans les trois ans après sa mort, ils n'en ont toujours pas, le million ira aux pauvres. A partir de là, le couple va essayer par tous les moyens à avoir un enfant, sans succès. Ce qui va détériorer les relations entre les époux, jusqu'à les rendre exécrables. Mme Bonnin va en arriver à considérer son mari comme "quelqu'un qui gâte tout".
6. « Ce n’est pas toi qui saurais en faire autant » ; « Dans la vie il faut savoir s’arranger pour n’être pas dupé par les circonstances » (l. 155 et l. 159-160 environ): que suggère ici M. Bonnin ? Quelle remarque pouvez-vous faire sur sa « prétention d’être un honnête homme » ? Où se trouve son véritable intérêt ?
Le véritable intérêt de M. Bonnin est l'argent. Il est guidé par la cupidité. Son "honnêteté" n'est qu'un vernis de surface.
7. a. Qu’est-ce que l’ironie ? b. Le prénom de l’enfant « Dieudonné » vous semble-t-il ironique ? Justifiez.
a. L'ironie est une manière de se moquer en disant le contraire de ce que l'on pense. C'est aussi une intention de moquerie méchante qu'on prête au sort.
b. Ils l’appellent Dieudonné pour imiter une pratique royale, mais aussi comme si c'était un don de Dieu, pour un couple apparemment chrétien et vertueux, mais en vérité, ils sont loin d'avoir eu un comportement chrétien dans la quête de cet enfant, autant en pensée, qu'en paroles.
8. « Et il faut entendre Mme Bonnin parler des femmes qui ont failli par amour, de celles qu’un grand élan du cœur a jetées dans l’adultère » : selon vous, quel est le contenu des propos de Mme Bonnin ?
Mme Bonnin condamne les femmes qui commettent l'adultère. Elle est hypocrite.
9. a. Qu’est-ce qu’une satire ? b. Quelle satire de la société bourgeoise du XIXe siècle Maupassant propose-t-il dans cette nouvelle ? Justifiez.
a. Une satire est une critique moqueuse des travers de la société.
b. Maupassant critique la cupidité et l'hypocrisie des apparences sociales.
10. En ce qui concerne le rapport des personnages à l’argent, de quelles autres nouvelles du recueil pouvez-vous rapprocher cette nouvelle ? À quelles autres nouvelles pouvez-vous l’opposer ? Justifiez.
Maupassant critique également le rapport des gens à l'argent dans "Le Petit Fût" et "La Rempailleuse", "Mon Oncle Jules", "Bel Ami".
Explications :
J'ai brossé les réponses. A toi de les développer davantage par rapport à tes cours et tes lectures. Regarde également nosdevoirs.fr/devoir/1992026 et bon courage !
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Réponse :
Bonjour,
1. À quelle classe sociale le couple Bonnin appartient-il ? Justifiez à l’aide d’éléments du texte.
"C'était un modeste ménage d'employés". Le couple Bonnin appartiennent à la classe modeste.
2. a. Qu’est-ce que « l’honnêteté » ? Donnez une définition.
L'honnêteté est la qualité de ce qui respecte la vertu, la morale ou une norme reconnue.
b. M. Bonnin « avait avant tout la prétention d’être un honnête homme » (l. 8-9 environ). Dressez le portrait du personnage et dites si vous partagez cette opinion de M. Bonnin sur lui-même.
"Il était, en effet, un honnête homme dans le sens le plus terre à terre du mot. Il venait à l'heure, partait à l'heure, ne flânait guère, et se montrait toujours fort droit sur la "question d'argent"." Il est plus décrit comme un bon citoyen, qui respecte les règles de la vie en société.
3. De « Les jeunes gens non plus n’avaient pas d’enfants … à … tant mieux » (troisième paragraphe) : comment qualifiez-vous de la vie des Bonnin ?
"Les jeunes gens non plus n'avaient pas d'enfants, mais ils n'y tenaient guère, vivant tranquilles dans leur étroite et placide honnêteté. Leur appartement était propre, rangé, dormant, car ils étaient calmes et modérés en tout ; et ils pensaient qu'un enfant troublerait leur vie, leur intérieur, leur repos. Ils ne se seraient pas efforcés de rester sans descendance ; mais puisque le ciel ne leur en avait point envoyé, tant mieux." Les Bonnin ont une vie tranquille et sans agitation, sans enfant, qu'ils appréciaient. Sans l'appât du million qui crée l'urgence d'avoir un enfant, qui pourrait troubler leur tranquillité, ils seraient bien rester comme ils étaient.
4. a. De qui Mme Bonnin est-elle l’héritière ?
Mme Bonnin est l'héritière de sa tante, la sœur de son père.
b. Le testament est-il conforme aux espérances du couple ? Justifiez.
Non, la tante lègue le million au premier-né du couple, au lieu de le léguer à sa nièce.
5. De « Elle mourut » à « Il y a des gens qui sont très gênants dans la vie, ils gâtent tout » : comment les relations entre les membres du couple évoluent-elles et pourquoi agissent-ils ainsi ? Justifiez.
La tante a légué le million au premier né du couple, et si dans les trois ans après sa mort, ils n'en ont toujours pas, le million ira aux pauvres. A partir de là, le couple va essayer par tous les moyens à avoir un enfant, sans succès. Ce qui va détériorer les relations entre les époux, jusqu'à les rendre exécrables. Mme Bonnin va en arriver à considérer son mari comme "quelqu'un qui gâte tout".
6. « Ce n’est pas toi qui saurais en faire autant » ; « Dans la vie il faut savoir s’arranger pour n’être pas dupé par les circonstances » (l. 155 et l. 159-160 environ): que suggère ici M. Bonnin ? Quelle remarque pouvez-vous faire sur sa « prétention d’être un honnête homme » ? Où se trouve son véritable intérêt ?
Le véritable intérêt de M. Bonnin est l'argent. Il est guidé par la cupidité. Son "honnêteté" n'est qu'un vernis de surface.
7. a. Qu’est-ce que l’ironie ? b. Le prénom de l’enfant « Dieudonné » vous semble-t-il ironique ? Justifiez.
a. L'ironie est une manière de se moquer en disant le contraire de ce que l'on pense. C'est aussi une intention de moquerie méchante qu'on prête au sort.
b. Ils l’appellent Dieudonné pour imiter une pratique royale, mais aussi comme si c'était un don de Dieu, pour un couple apparemment chrétien et vertueux, mais en vérité, ils sont loin d'avoir eu un comportement chrétien dans la quête de cet enfant, autant en pensée, qu'en paroles.
8. « Et il faut entendre Mme Bonnin parler des femmes qui ont failli par amour, de celles qu’un grand élan du cœur a jetées dans l’adultère » : selon vous, quel est le contenu des propos de Mme Bonnin ?
Mme Bonnin condamne les femmes qui commettent l'adultère. Elle est hypocrite.
9. a. Qu’est-ce qu’une satire ? b. Quelle satire de la société bourgeoise du XIXe siècle Maupassant propose-t-il dans cette nouvelle ? Justifiez.
a. Une satire est une critique moqueuse des travers de la société.
b. Maupassant critique la cupidité et l'hypocrisie des apparences sociales.
10. En ce qui concerne le rapport des personnages à l’argent, de quelles autres nouvelles du recueil pouvez-vous rapprocher cette nouvelle ? À quelles autres nouvelles pouvez-vous l’opposer ? Justifiez.
Maupassant critique également le rapport des gens à l'argent dans "Le Petit Fût" et "La Rempailleuse", "Mon Oncle Jules", "Bel Ami".
Explications :
J'ai brossé les réponses. A toi de les développer davantage par rapport à tes cours et tes lectures. Regarde également nosdevoirs.fr/devoir/1992026 et bon courage !