Irina Némirovsky est née en 1887 dans une très riche famille juive de Kiev en Ukraine.
Par son éducation, Irina parle le russe, le français et l'anglais.
Pour fuir les persécutions contre les juifs, la famille fuit en Europe et finit par s’installer à Paris en 1919, ou Irène passera le baccalauréat, puis fera de brillantes études à la Sorbonne.
La jeune femme écrit en français et publie des contes et nouvelles, puis un premier roman « le malentendu » en 1926.
Mais c'est « David Golder » qui sera son premier grand succès, et l'adaptation au cinéma et au théâtre de celui ci, fera de Irena Némirovsky une égérie littéraire.
La seconde guerre mondiale brisera son ascension et la France lui refusera la nationalité française, elle sera arrêtée et envoyé à Auschwitz, en juillet 1942, où elle y meurt du typhus un mois plus tard à l'âge de 55 ans.
Ses deux filles Élisabeth et Denise Epstein miraculeusement réchappées du sort réservé aux juifs, feront publier le dernier manuscrit inédit de celle-ci « la suite française ». Ce roman reçoit en 2004 le Prix Renaudot à titre posthume, ce qui est un fait unique, car ce prix ne récompense que des écrivains vivants.
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Bonjour,Irina Némirovsky est née en 1887 dans une très riche famille juive de Kiev en Ukraine.
Par son éducation, Irina parle le russe, le français et l'anglais.
Pour fuir les persécutions contre les juifs, la famille fuit en Europe et finit par s’installer à Paris en 1919, ou Irène passera le baccalauréat, puis fera de brillantes études à la Sorbonne.
La jeune femme écrit en français et publie des contes et nouvelles, puis un premier roman « le malentendu » en 1926.
Mais c'est « David Golder » qui sera son premier grand succès, et l'adaptation au cinéma et au théâtre de celui ci, fera de Irena Némirovsky une égérie littéraire.
La seconde guerre mondiale brisera son ascension et la France lui refusera la nationalité française, elle sera arrêtée et envoyé à Auschwitz, en juillet 1942, où elle y meurt du typhus un mois plus tard à l'âge de 55 ans.
Ses deux filles Élisabeth et Denise Epstein miraculeusement réchappées du sort réservé aux juifs, feront publier le dernier manuscrit inédit de celle-ci « la suite française ».
Ce roman reçoit en 2004 le Prix Renaudot à titre posthume, ce qui est un fait unique, car ce prix ne récompense que des écrivains vivants.