Nom : DM n° Exercice: Une étude de la biodiversité locale et de son évolution récente Les écosystèmes les plus menacés par les activités et l'occupation humaine sont les écosystèmes de mangroves. Au Gabon, les efforts entrepris pour stopper ou ralentir ce processus de dégradation des mangroves souffrent beaucoup du déficit de données et de connaissances relatif à ces écosystèmes. C'est dans cette optique que le projet « Modélisation de la Dynamique des mangroves de Libreville et de ses environs et des risques de leur dégradations » a été mis en place par le LAGRAC (Laboratoire de Géomatique, de Recherche Appliquée et de Conseil), du Département des Sciences Géographiques, Environnementales et Marines de l'Université Omar Bongo. Observant l'expansion urbaine rapide de Libreville et ses environs, le LAGRAC a produit une étude de 4 sites à la demande de la Direction Générale des Ecosystèmes Aquatiques du Ministère des Eaux et Forêts afin d'appuyer la prise de décisions au sujet des mangroves. Nous nous intéresserons à deux sites: la Baie Abaga et Okala-Agondjé. Google Earth 1. Baie Abaga 2. Baie Obagna 3. Baie Mamboumba 4. Okala-Angondjé Questions: 10 Jan de S.V.T 2e Date: — Document 1: Localisation des sites L'ensemble des sites étudiés, dont la Baie Abaga et Okala-Agondjé (voir ci-contre) couvre une superficie de plus de 3400 hectares. Le sud de la zone est urbanisé alors que l'Est est plutôt rural, avec quelques villages éparpillés dans la forêt. Pour cartographier les changements d'occupation du sol, la télédétection et la photo-interprétation d'images à très hautes résolution ont été employés comme technique. L'étude a été menée entre 2003 et 2020 pour les sites considérés. Document 2: Les systèmes d'informations Géographique Les scientifiques utilisent Google Earth, un portail numérique, pour la recherche en télédétection. Il s'agit d'un SIG (Système d'Information Géographique) qui utilise comme point de départ des images satellitales. Sur ces images, diverses informations peuvent être ajoutées (constructions humaines, types d'écosystème, cartes géologique...). Certaines de ces données sont disponibles pour différentes années, ce qui permet de suivre d'éventuelles évolutions des paysages. dour zones présentées, l'évolution de la biodiversité entre 2003 et 2020.
La demande est de décrire l'étude de la biodiversité locale et de son évolution récente dans les sites de la Baie Abaga et Okala-Agondjé au Gabon, effectuée entre 2003 et 2020 par le LAGRAC, en utilisant la télédétection et la photo-interprétation d'images à très haute résolution. Les scientifiques ont utilisé Google Earth, un SIG, pour ajouter des informations sur les images satellitales telles que les constructions humaines, les types d'écosystèmes, les cartes géologiques, etc. Les écosystèmes les plus menacés par les activités et l'occupation humaine sont les écosystèmes de mangroves. La Baie Abaga et Okala-Agondjé font partie des sites étudiés et couvrent une superficie de plus de 3400 hectares. La zone sud est urbanisée tandis que l'est est plutôt rural, avec quelques villages éparpillés dans la forêt. La direction générale des écosystèmes aquatiques du ministère des eaux et forêts a demandé cette étude afin d'appuyer la prise de décisions au sujet des mangroves.
Lista de comentários
Réponse:
La demande est de décrire l'étude de la biodiversité locale et de son évolution récente dans les sites de la Baie Abaga et Okala-Agondjé au Gabon, effectuée entre 2003 et 2020 par le LAGRAC, en utilisant la télédétection et la photo-interprétation d'images à très haute résolution. Les scientifiques ont utilisé Google Earth, un SIG, pour ajouter des informations sur les images satellitales telles que les constructions humaines, les types d'écosystèmes, les cartes géologiques, etc. Les écosystèmes les plus menacés par les activités et l'occupation humaine sont les écosystèmes de mangroves. La Baie Abaga et Okala-Agondjé font partie des sites étudiés et couvrent une superficie de plus de 3400 hectares. La zone sud est urbanisée tandis que l'est est plutôt rural, avec quelques villages éparpillés dans la forêt. La direction générale des écosystèmes aquatiques du ministère des eaux et forêts a demandé cette étude afin d'appuyer la prise de décisions au sujet des mangroves.