bonjour, vous pouvez m'qider

Lire l’Acte III en entier, puis la scène 7 avec attention.
1/ Faire un bref résumé de l'Acte III, scène par scène.
2/ Acte III, scène 7. Quels sont les personnages en présence ? Rappelez leurs liens et la situation d’Harpagon et de Cléante par rapport à Mariane.
3/ Dans les deux premières répliques de Cléante, relevez et commentez trois phrases qui ont un double sens, l’un pour Mariane, l’autre pour Harpagon.
4/ Par deux fois dans la fin de la scène, Cléante met son père dans l’embarras : quelles sont les deux initiatives de Cléante qui font pester Harpagon ? En quoi la situation est-elle comique ?
5/ P. 86-87 – Donnez trois exemples où Molière mêle comique de gestes et comique de mots.
Please enter comments
Please enter your name.
Please enter the correct email address.
You must agree before submitting.
More Questions From This User See All
Bonjour j’ai un devoir de français Merci d’avance pour votre aide Rédiger au propre l’explication du poème de Victor Hugo: (“Oui je suis le rêveur”). L’explication doit faire une page environ. Il doit être composé d’une courte introduction présent dans le poème, puis d’une explication organisée en deux ou trois paragraphes, conclusions facultative. Voici le texte en question et mes notes. Oui, je suis le rêveur ; je suis le camarade Des petites fleurs d'or du mur qui se dégrade, Et l'interlocuteur des arbres et du vent. Tout cela me connaît, voyez-vous. J'ai souvent, En mai, quand de parfums les branches sont gonflées, Des conversations avec les giroflées ; Je reçois des conseils du lierre et du bleuet. L'être mystérieux, que vous croyez muet, Sur moi se penche, et vient avec ma plume écrire. J'entends ce qu'entendit Rabelais ; je vois rire Et pleurer ; et j'entends ce qu'Orphée entendit. Ne vous étonnez pas de tout ce que me dit La nature aux soupirs ineffables. Je cause Avec toutes les voix de la métempsycose. Avant de commencer le grand concert sacré, Le moineau, le buisson, l'eau vive dans le pré, La forêt, basse énorme, et l'aile et la corolle, Tous ces doux instruments, m'adressent la parole ; Je suis l'habitué de l'orchestre divin; Si je n'étais songeur, j'aurais été sylvain. J'ai fini, grâce au calme en qui je me recueille, A force de parler doucement à la feuille, A la goutte de pluie, à la plume au rayon, Par descendre à ce point dans la création, Cet abîme où frissonne un tremblement farouche, Que je ne fais plus même envoler une mouche! Le brin d'herbe, vibrant d'un éternel émoi, S'apprivoise et devient familier avec moi, Et, sans s'apercevoir que je suis là, les roses Font avec les bourdons toutes sortes de choses
Responda

Helpful Social

Copyright © 2025 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.