J'ai un ESSAI à faire et voici le sujet, qqn peut m'aider ? J'ai deja trouvé les deux axes principal (niveau seconde)
I/
L'amitié est qqc qui ne se perd pas/des moments qui s'oublie pas
1.Colin qui dès qui revoit Jeannot va l'aider meme si il l'a rejeté/ a pris un air supérieur
2.
II/
MAIS Il peut qu'il y ait des faux amis, qui peuvent vous trahir alors que vous croyez en eux (argent/corruption, ne sont plus interessé par vous/partent avec qqn d'autre)
1.
2.
Dans Les Illusions perdues en 1837, Honoré de Balzac écrit : « Ce qui rend les amitiés indissolubles et double leur charme est un sentiment qui manque à l’amour : la certitude. »
En vous appuyant sur la lecture de la fable qui suit : Les deux amis de Jean de La Fontaine (qu’il vous est demandé de lire), sur votre connaissance du conte Jeannot et Colin et de tout ce qui fait votre culture littéraire et personnelle, exprimez votre opinion sur les propos de Balzac en deux paragraphes argumentés type « essai » (revoir méthode si nécessaire).
Votre travail débutera par une courte introduction dans laquelle vous aurez formulé une interrogation et annoncé votre plan et s’achèvera par une conclusion-bilan qui répondra à la question d’origine.
Une quarantaine de lignes en français correct.
Les Deux Amis
Deux vrais Amis vivaient au Monomotapa° ;
L'un ne possédait rien qui n'appartînt à l'autre.
Les amis de ce pays-là
Une nuit que chacun s'occupait au sommeil,
Et mettait à profit l'absence du soleil,
Un de nos deux Amis sort du lit en alarme ;
Il court chez son intime, éveille les Valets :
Morphée° avait touché le seuil de ce palais.
L'Ami couché s'étonne, il prend sa bourse, il s'arme ;
Vient trouver l'autre, et dit : Il vous arrive peu
De courir quand on dort ; vous me paraissez homme
A mieux user du temps destiné pour le somme :
N'auriez-vous point perdu tout votre argent au jeu ?
En voici. S'il vous est venu quelque querelle,
J'ai mon épée, allons. Vous ennuyez-vous point
De coucher toujours seul ? Une esclave assez belle
Était à mes côtés ; voulez-vous qu'on l'appelle ?
Non, dit l'Ami, ce n'est ni l'un ni l'autre point :
Je vous rends grâce de ce zèle.
Vous m'êtes en dormant un peu triste apparu ;
J'ai craint qu'il ne fût vrai, je suis vite accouru.
Ce maudit songe en est la cause.
Qui d'eux aimait le mieux ? Que t'en semble, lecteur ?
Cette difficulté vaut bien qu'on la propose.
Qu'un Ami véritable est une douce chose !
Il cherche vos besoins au fond de votre cœur ;
Il vous épargne la pudeur
De les lui découvrir vous-même.
Un songe, un rien, tout lui fait peur
Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Jean de la Fontaine,Fables, 1668
Vocabulaire : °Monomotapa : Royaume d'Afrique australe - °Morphée : dieu de la mythologie grecque, divinité des rêves prophétiques. Il donne le sommeil en touchant une personne avec des pavots, et lui donne également des rêves pour la nuit.
I/
L'amitié est qqc qui ne se perd pas/des moments qui s'oublie pas
1.Colin qui dès qui revoit Jeannot va l'aider meme si il l'a rejeté/ a pris un air supérieur
2.
II/
MAIS Il peut qu'il y ait des faux amis, qui peuvent vous trahir alors que vous croyez en eux (argent/corruption, ne sont plus interessé par vous/partent avec qqn d'autre)
1.
2.
Dans Les Illusions perdues en 1837, Honoré de Balzac écrit : « Ce qui rend les amitiés indissolubles et double leur charme est un sentiment qui manque à l’amour : la certitude. »
En vous appuyant sur la lecture de la fable qui suit : Les deux amis de Jean de La Fontaine (qu’il vous est demandé de lire), sur votre connaissance du conte Jeannot et Colin et de tout ce qui fait votre culture littéraire et personnelle, exprimez votre opinion sur les propos de Balzac en deux paragraphes argumentés type « essai » (revoir méthode si nécessaire).
Votre travail débutera par une courte introduction dans laquelle vous aurez formulé une interrogation et annoncé votre plan et s’achèvera par une conclusion-bilan qui répondra à la question d’origine.
Une quarantaine de lignes en français correct.
Les Deux Amis
Deux vrais Amis vivaient au Monomotapa° ;
L'un ne possédait rien qui n'appartînt à l'autre.
Les amis de ce pays-là
Une nuit que chacun s'occupait au sommeil,
Et mettait à profit l'absence du soleil,
Un de nos deux Amis sort du lit en alarme ;
Il court chez son intime, éveille les Valets :
Morphée° avait touché le seuil de ce palais.
L'Ami couché s'étonne, il prend sa bourse, il s'arme ;
Vient trouver l'autre, et dit : Il vous arrive peu
De courir quand on dort ; vous me paraissez homme
A mieux user du temps destiné pour le somme :
N'auriez-vous point perdu tout votre argent au jeu ?
En voici. S'il vous est venu quelque querelle,
J'ai mon épée, allons. Vous ennuyez-vous point
De coucher toujours seul ? Une esclave assez belle
Était à mes côtés ; voulez-vous qu'on l'appelle ?
Non, dit l'Ami, ce n'est ni l'un ni l'autre point :
Je vous rends grâce de ce zèle.
Vous m'êtes en dormant un peu triste apparu ;
J'ai craint qu'il ne fût vrai, je suis vite accouru.
Ce maudit songe en est la cause.
Qui d'eux aimait le mieux ? Que t'en semble, lecteur ?
Cette difficulté vaut bien qu'on la propose.
Qu'un Ami véritable est une douce chose !
Il cherche vos besoins au fond de votre cœur ;
Il vous épargne la pudeur
De les lui découvrir vous-même.
Un songe, un rien, tout lui fait peur
Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Jean de la Fontaine,Fables, 1668
Vocabulaire : °Monomotapa : Royaume d'Afrique australe - °Morphée : dieu de la mythologie grecque, divinité des rêves prophétiques. Il donne le sommeil en touchant une personne avec des pavots, et lui donne également des rêves pour la nuit.
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