Depuis le XIX° siècle et la révolution industrielle, les machine sont entrées dans les fabriques, les usines, dans les filatures, les chaines automobiles. Avec la société de consommation, l'électro ménager est entré dans nos cuisines. Maintenant nous avons vu arriver le numérique et tous les objets connectés. Cette prolifération des machines, de robots est-elle une bonne ou une mauvaise chose ? Est-ce la meilleure ou la pire des choses ?
I. Les avantages
Les machines facilitent le travail dans beaucoup de métiers mais aussi à la maison.
C'est une commodité pour se déplacer, pour fabriquer et souvent la fatigue physique s'en trouve allégée.
Les machines libèrent du temps pour les loisirs.
II. les inconvénients :
- Nous sommes souvent dépendants de la machine. une panne d'électricité, de voiture et nous voilà piégés, démunis.
- La publicité, les promotions nous incitent à consommer toujours plus.
- Parfois certains objets nous aliènent, il suffit de voir combien sont accros à leur tablette, leur smartphone.
Il faudrait que nous soyons les maîtres des machines et non pas leurs esclaves.
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Réponse :
Depuis le XIX° siècle et la révolution industrielle, les machine sont entrées dans les fabriques, les usines, dans les filatures, les chaines automobiles. Avec la société de consommation, l'électro ménager est entré dans nos cuisines. Maintenant nous avons vu arriver le numérique et tous les objets connectés. Cette prolifération des machines, de robots est-elle une bonne ou une mauvaise chose ? Est-ce la meilleure ou la pire des choses ?
I. Les avantages
Les machines facilitent le travail dans beaucoup de métiers mais aussi à la maison.
C'est une commodité pour se déplacer, pour fabriquer et souvent la fatigue physique s'en trouve allégée.
Les machines libèrent du temps pour les loisirs.
II. les inconvénients :
- Nous sommes souvent dépendants de la machine. une panne d'électricité, de voiture et nous voilà piégés, démunis.
- La publicité, les promotions nous incitent à consommer toujours plus.
- Parfois certains objets nous aliènent, il suffit de voir combien sont accros à leur tablette, leur smartphone.
Il faudrait que nous soyons les maîtres des machines et non pas leurs esclaves.
Explications :