Pourquoi veut on cloner des animaux?Quels intérêts présente le clonage animal?
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sihamm
Le clonage désigne principalement deux processus. C'est d'une part la multiplication naturelle ou artificielle à l'identique d'un être vivant, c'est-à-dire avec conservation exacte du même génome pour tous les descendants (les clones). C'est donc un synonyme de certaines formes de multiplication asexuée tel que le bouturage. C'est aussi la multiplication provoquée d'un fragment d'ADN par l'intermédiaire d'un micro-organisme le but Le clonage est une idée qui ne date pas d’hier. En effet depuis qu'en 1952 des cellules embryonnaires de grenouilles ont été clonées et que certaines se sont développées jusqu'au têtard, le clonage est une pratique qui hante l’esprit de nombreux chercheurs. A commencer par Ian Wilmut, qui entreprend le clonage d’un mammifère en 1996 et donne naissance à la première brebis clonée : Dolly. On peut affirmer que la réussite du clonage sur les animaux serait une avancée considérable pour les Sciences. Par exemple, la technique du clonage permet d’approfondir nos connaissances concernant le potentiel de différenciation des cellules embryonnaires au début du développement de l’embryon de mammifères. De plus, il permet aussi de mieux connaître la part réelle des gènes dans l’identité biologique d’un mammifère.
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le but
Le clonage est une idée qui ne date pas d’hier. En effet depuis qu'en 1952 des cellules embryonnaires de grenouilles ont été clonées et que certaines se sont développées jusqu'au têtard, le clonage est une pratique qui hante l’esprit de nombreux chercheurs. A commencer par Ian Wilmut, qui entreprend le clonage d’un mammifère en 1996 et donne naissance à la première brebis clonée : Dolly. On peut affirmer que la réussite du clonage sur les animaux serait une avancée considérable pour les Sciences. Par exemple, la technique du clonage permet d’approfondir nos connaissances concernant le potentiel de différenciation des cellules embryonnaires au début du développement de l’embryon de mammifères. De plus, il permet aussi de mieux connaître la part réelle des gènes dans l’identité biologique d’un mammifère.