Pouvez m'aider à y répondre svp. C'est pour dans 10min.
Aurais-tu aimé vivre à l’époque de Molière? Explique pourquoi. Sois organisé, précis et détaillé (minimum huit lignes). Faire attention à l’orthographe.
On peut toujours rêver de changer d'époque et des oeuvres de fiction permettent parfois de se projeter dans le futur ou au contraire de retourner dans le passé. Les comédies de Molière nous permettent d'imaginer le XVII° et je me demande si j'aurais aimé vivre dans ce siècle de Louis XIV.
L'histoire nous apprend que la société du XVII° siècle était très cloisonnée. Il y avait des classes distinctes : la noblesse, le clergé et le tiers Etat. La noblesse disposait de privilèges. Le clergé avait de l'influence. Le tiers état était le plus nombreux, il était accablé de charges, d'impôts de toutes sortes, n'avait aucun droit et vivait pauvrement.
Si j'en crois mon arbre généalogique, j'aurais sûrement fait partie de ce peuple de miséreux, écrasés de charges, victimes de famines et l'on sait que l'espérance de vie était bien courte, que la mortalité infantile était très importante. Sans protection, avec autant de misères sur le dos, je n'aurais pas aimé vivre dans cette époque. De toute façon, même noble, je peux dire que cette classe de courtisans ne m'inspire guère. Elle ignore tout du travail pénible, du froid et de la faim et elle courtise le roi pour obtenir des pensions.
Finalement, rien ne sert de rêver, il vaut mieux s'adapter à son époque.
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On peut toujours rêver de changer d'époque et des oeuvres de fiction permettent parfois de se projeter dans le futur ou au contraire de retourner dans le passé. Les comédies de Molière nous permettent d'imaginer le XVII° et je me demande si j'aurais aimé vivre dans ce siècle de Louis XIV.
L'histoire nous apprend que la société du XVII° siècle était très cloisonnée. Il y avait des classes distinctes : la noblesse, le clergé et le tiers Etat. La noblesse disposait de privilèges. Le clergé avait de l'influence. Le tiers état était le plus nombreux, il était accablé de charges, d'impôts de toutes sortes, n'avait aucun droit et vivait pauvrement.
Si j'en crois mon arbre généalogique, j'aurais sûrement fait partie de ce peuple de miséreux, écrasés de charges, victimes de famines et l'on sait que l'espérance de vie était bien courte, que la mortalité infantile était très importante. Sans protection, avec autant de misères sur le dos, je n'aurais pas aimé vivre dans cette époque. De toute façon, même noble, je peux dire que cette classe de courtisans ne m'inspire guère. Elle ignore tout du travail pénible, du froid et de la faim et elle courtise le roi pour obtenir des pensions.
Finalement, rien ne sert de rêver, il vaut mieux s'adapter à son époque.
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